Essai Dodge Caliber: Conclusion

Lorsque nous avions demandé une voiture à essayer à DaimlerChrysler, nous espérions pouvoir disposer d’une Dodge Viper SRT-10 ou d’une Chrysler 300C SRT-8, histoire de continuer dans la lignée de nos essais des Ford GT, Porsche Cayman, Ford Mustang et Mercedes SL500. Pour diverses raisons, nous nous retrouvions avec une Caliber à la place des bolides pré-cités. Qu’à cela ne tienne, un des atouts du Blog Auto est sa spontanéïté! Je suis donc parti pour une grande boucle avec la dernière née de la marque au bélier!

Comme vous avez pu le lire dans mes posts précédents, la Caliber m’a surpris en bien avec très peu d’ombres au tableau. Parmi les pistes d’optimisation que Dodge ferait bien de mettre en place pour le prochain milésime, je citerai des appui-tête garnis en cuir à la place du PVC thermogainé, une suspension plus ferme et en adéquation avec le confort des sièges, des barres stabilisatrices un peu plus grosses, histoire de mieux maitriser le roulis en courbe et lors des changements d’appui, ainsi qu’un volant réglable non seulement en hauteur mais aussi en profondeur. Pour le reste, je ne vais pas vous faire l’affront des redites, mais sachez simplement que la Dodge Caliber mérite que l’on s’y intéresse. Comme ses ainées Dart et Demon des années 60 et 70, la Caliber égaye le paysage automobile français. Au delà des très pratiques, mais trop fonctionnelles Scenic, Picasso et Touran qui ne font réver personne, la Caliber ose l’innovation stylistique, mariée à une qualité d’éxecution remarquable en regard du niveau de prix affiché.

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