Tour Auto 2006: Brit’ Party 1

L‘union Jack n’est pas à proprement parler l’oriflamme célébrant un regroupement de Jackys, non ! L’immense histoire de l’Automobile anglaise, qui malheureusement ne se conjugue vraiment plus au présent, trouve dans le Tour Auto matière à démontrer sa philosophie. « Think different », disait la pub. L’automobile anglaise, c’est un peu pareil ! Part one: Luxe et virilité

Aston Martin DB4 GT. Voici 2 exemplaires en photo. Selon certains ouvrages, seulement 100 ont été construites. Sachant qu’une troisième était engagée, vous avez donc sous vos yeux rien moins que 3% de de toute la production qui s’est étalée de 1960 à 1963. L’engin qui était destiné à la compétition dispose d’un haras conséquent de plus de 300 chevaux. Pour mémoire, les plus chères des Aston sont les DB4 GT carrossées (et allégées) par Zagato. 19 seulement ont été construites.

Si l’on cause Aston, on ne peut passer sous silence  Jaguar. A Nîmes, une belle brochette de félines se sont trémoussées sur les ondulations gardoises. Pot pourri:

La plus connue est la Type E.

Mais avant elle, la série des XK 120 exposa aux amateurs esthètes, sportifs et pas nécessairement rentiers, le sens de l’esthétisme et du marketing d’un certain William Lyons. Jaguar XK 120 1950 et 1951.

La petite souillure négligemment laissée sur le galbe d’un postérieur aussi fantasmatique frise le classement ‘X’ !! J’en suis tout chose…

Allons donc admirer, pour se remettre les idées en place, la XK 150 (pour 150 miles soit 240 km/h) qui succéda à la XK 140 (qui était elle même une évolution de la XK 120). Plus large plus puissante, elle n’en reste pas moins très sensuelle.

    

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