MONACO HISTORIQUE: Epilogue: TORPEUR

Pas de pression, une bonne ambiance, un cadre enchanteur, il n’en faut guère plus pour rendre aimables et accessibles ceux qui, en d’autres circonstances, vous auraient écarté sans ambages. Et ceux ci, ce week-end là, étaient particulièrement détendus. A commencer par le monument Jo RAMIREZ

Certains de la télé faisaient farniente.

D’autres étaient contents de se retrouver.

Reste un monumental loupé, Juan Pablo avec sa marmaille. Passé très vite du côté du port, pas le temps de dégainer.

Il faut sortir de sa torpeur. L’ambiance du GP de MONACO, le moderne celui-là, s’installe déjà.

Ce ne sera sans doute pas la même musique.

FIN

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