Essai DS 7 Vauban de 300 ch

Tel le DS 7 présidentiel, l’auto se base sur un DS 7 E-TENSE 4×4 300, ici en finition haut de gamme « Esprit de Voyage », la Collection DS de l’an dernier. De quoi noter à nouveau que le facelift de l’auto de 2022 lui a donné une sacrée présence, notamment avec cette signature lumineuse avant sophistiquée, des feux arrière « écaille » plus acérés, et un hayon revu. Quelques éléments, et pourtant, le DS 7 en impose. 

 

(7 commentaires)

  1. Je me demande si ces ‘publireportages’ suite à des invitations de DS ne font pas encore plus de tort à la marque.

    On y apprend qu’on teste un SUV moyen équipé pour résister à un tir d’arme légère (c’est à dire pas grand intérêt sécuritaire pour ce genre de transformation) en testant le véhicule avec des masses dans le coffre.

    Je quitte à l’instant la vidéo de Laurent Schmidt sur Nissan au Japon.
    Soit immédiatement le jour et la nuit quand on voit les ateliers de Nismo ou le conservatoire Nissan.

    On me dira que la société de blindage n’est pas DS …. c’est la mauvaise publicité/marketing qui reste en ma mémoire.

    Tiens, j’irais presque acheter une Nissan.

  2. Je suis mort de rire …. ils ne savent plus quoi inventer pour espérer vendre deux ou trois bagnoles …..

  3. est ce qu’elle a des airbag tagada, cette chiasse françouse sur roues car si ça pouvait lui pêter à la gueule au fils de pute « renaissance », on pourrait se cotiser pour pour lui ériger des latrines en cénotaphe

  4. @Ubot
    Pour votre information… DS7 est pour DS Automobiles un très beau succès.
    Et la Bataille de la Bérézina est un succès pour l’Armée Française (dans sa retraite) un peu comme l’opération Dynamo par les Anglais en juin 1940.

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