Présentée en juin 2021, la Chiron Super Sport, qui culmine à 3,2 millions d’euros, développe 1 600 ch, elle est plus légère de 23 kg et gagne 25 cm en longueur par rapport à la Chiron de base, pour une vitesse maximale est de 440 km/h.
Jean Bugatti, un précureur dans la lignée de son père
La dernière en date, jaune et noire, ne rend pas hommage à l’apiculture mais à la Type 55 Super Sport d’avant-guerre, qui utilisait un moteur huit cylindres en ligne de 2,3 litres dérivé de celui de la redoutable voiture de course, la Bugatti Type 51. Sa véritable originalité résidait néanmoins dans son élégante carrosserie de roadster biplace, tout droit sortie de l’imagination de Jean Bugatti. Le fils du grand Ettore, qui avait hérité du génie de son père, prend peu à peu les rênes de la marque dans les années 30, avant de décéder tragiquement le 11 août 1939, à l’âge de 30 ans, au cours d’essais d’usine et mise au point de la Bugatti Type 57 G Tank pour le Grand Prix automobile de La Baule. Un drame qui marquera le début du déclin irrémédiable de la prestigieuse marque française.
Pionnière des Super Sport chez Bugatti, la Type 55 a non seulement inauguré une nouvelle ère en alliant harmonieusement confort et performance, avec une vitesse de pointe à 180 km/h, remarquable pour l’époque – mais elle a également servi de référence au design de toutes les Super Sport modernes. Version routière des machines de course Type 50 et 51, elle n’a été produite qu’à 38 exemplaires entre 1931 et 1935.
Un savant mariage du noir et du jaune
La Chiron Super Sport sur mesure du jour arbore la célèbre peinture bicolore adoptée par Jean Bugatti sur la Type 55, reprenant lui-même la combinaison noire et jaune. Sur l’hypersportive, les couleurs ne servent pas seulement à exprimer le dynamisme, elles permettent également de différencier visuellement les surfaces de la carrosserie, dont le point de convergence dominant est l’arête centrale noire rappelant celle de la Type 55. Cet élément visuel est renforcé par la ligne noire entourant la célèbre calandre en fer à cheval de Bugatti, et par une élégante ligne jaune s’étendant de la face arrière jusqu’aux ailes de l’hypersportive.
Ainsi, la « 55 1 of 1 » utilise une technique qui consiste à appliquer à la main, dans un fondu subtil, le motif « 55 » au-dessus des phares et sur les ailes, afin de mettre en valeur la calandre et d’affiner visuellement l’avant du véhicule. « De loin, le motif « 55 » donne l’impression que l’aile est complètement noire comme sur la voiture d’origine. », a précisé Jascha Straub. « Sur le modèle historique, dont certaines pièces s’arrêtent à un endroit précis, il était possible de peindre jusqu’à l’arête. Parmi les autres signes distinctifs, soulignons des jantes noires minimalistes à dix rayons, habillées de l’emblème « EB » jaune au centre, L’inscription « 55 1 of 1 » sous l’aile arrière du véhicule, fait quant à elle clairement écho au chef-d’œuvre ayant inspiré cette création artistique moderne.
Des éléments en référence à la Type 55 Super Sport habillent également l’habitacle intérieur de la Super Sport « 55 1 of 1 ». Dotée d’un cuir noir qui rappelle l’extérieur, la cabine arbore des détails uniques tels que des appuie-têtes brodés affichant l’inscription « 55 1 of 1 ». Les panneaux de porte se parent du motif fondu composé d’une série de « 55 » habilement cousus à la main dans une teinte jaune vif. Sa signature trouve également sa place sur le bas de porte et sur la plaque du véhicule.
Sans doute l’ultime (le top du top) de la lignée des Bugatti contemporaines. Elle est pour qui au fait ?
Juste un petit regret : la couleur des jantes. Pourquoi ne pas avoir repris le gris du modele qui a servi d’inspiration ?
C’est vraiment une voiture phénoménale : quand vous en croisez une le bruit du v16 est hors norme !
Content que ce genre d’exclusivité existe maïs à mon goût le noir et jaune sur une voiture moderne…. ça ne fonctionne pas. Les dégradés d’ailes me paraissent même plutôt vilains.
Il ça falloir que j’en fasse une autre one of one , à mes goûts.
Voyons voir ce foutu banquier, qu’il comprenne cette fois l’investissement que c’est !
Ah les bonnes surprises de Bugatti… quatre pneus plus quatre jantes, c’est juste 45000 euros et une petite révision 8000 euros !! Une paille !!
Et… alors ? Who cares?
Ah les mecs, voilà une opportunité qui ne se représentera plus, précipitez-vous tout de suite…car sur La Centrale une Veyron est à un prix démentiel de tout petits euros et à la portée d’un tout petit gagneur de Loto (une misère) de 1,8 petits millions avec en plus que des petits 5800 km au compteur !
Vous allez vous en vouloir de ne pas avoir saisi l’occasion tout de suite !!
C’est évident que c’est un produit anti-inflation !!
PS
C’est garanti que ce n’est pas une copie chinoise !
C’est pas une voiture, c’est un investissement. Aucun intérêt.
Ah si, les 23 kg en moins. ^^