DS fête 10 ans en Italie avec une édition limitée

2024 marque l’achèvement de la première décennie depuis la création de DS Automobiles et l’avènement de la marque française sur le marché italien. En 2023, elle a enregistré son meilleur résultat en termes de volumes de ventes, avec plus de 7 200 immatriculations, positionnant l’Italie comme le deuxième marché mondial pour DS Automobiles. Pour commémorer cette étape importante, DS annonce le lancement de la nouvelle Édition Limitée, une série spéciale disponible sur toute la gamme DS de février à avril. Toute la gamme est concernée, de la DS3 jusqu’à la grande berline DS9.

Plus d’options intégrées

Les DS Edit10n Limitée intègre les options les plus demandées directement dans le coût de la voiture, assurant ainsi une expérience complète et sur mesure au client.  La gamme reste structurée en 4 niveaux de fintion, à savoir Bastille Business, Performane Line, Rivoli et Opera. Sur la dotation en équipements, par exemple, au niveau Performance Line, la DS 4 Edit10n Limitée peut être équipée des moteurs BlueHDi 130 et PureTech 130, en les associant à la peinture métallisée Grigio Premiere. Grâce au Pack Access Premium, elle reçoit le hayon motorisé, le système Vision 360, le chargeur Sans Fil, l’Alarme et un toit noir. Le communiqué ne précise pas cependant si la voiture est ornée de badges, ou de décorations spéciales de sellerie pour ce 10e anniversaire. Il s’agit donc plutôt d’une hausse en dotation. De même, au niveau Performance Line+, la DS 7 Edit10n Limitée adopte la motorisation BlueHDi 130, la finition Premiere Grey, le Pack Accès & Caméra, le Pack Drive Assist + Vision 360 et des Jantes en alliage Tokyo de 20 pouces.

Du côté de l’actualité, 2024 sera une année importante pour DS qui commercialisera une DS 4 en version 100 % électrique, puis dévoilera une nouvelle création, inaugurant le premier projet 100 % électrique de Stellantis basé sur la plateforme globale STLA M. La production ne sera pas faite en France néanmoins, malgré tout le marketing accès sur la « French class », puisque c’est l’usine de Melfi en Italie qui devrait en profiter.

(3 commentaires)

  1. Cette marque est tout bonnement un fiasco retentissant et un cas d’école de tout ce qui ne faut pas faire dans l’automobile!

  2. Justement faire des voitures juste pour la configuration ne sert à rien et pour quelle se vendent il lui aurait fallu avoir au minimum 4RM et un gros moteur (même un gros 4 cylindres de 2.2 ou 2.4).

    Je vois pas où est la machine à cash dans la DS7 vu le nombre d’exemplaires qui se vendent.
    Reste que la DS3 et 4 ne sont pas un carton et cette marque qui devait conquérir la Chine à juste juste réussi à conquérir la France un petit peu.

  3. Ce ne sont pas les cv le problème de la DS9 qui beaucoup appelle Citroën à juste titre ni sa beauté car il faut avouer que c’est la plus belle berline française de tous les temps mais bien son moteur trop petit qui aurait mérité un 2.0 en position longitudinale avec 2 Turbo au lieu d’un seul et surtout sortir en propulsion.
    C’est bien là le problème de PSA tout comme ce fut le cas pour Lancia avec FCA… s’entêter à faire les tractions qui sont sous motorisés, tout comme cela fut le cas pour le sublime coupé 406.
    Quand on veut une voiture statutaire ou/et sportive, il ne faut pas avoir peur de casser ses codes et voir plus loin comme ce fut le cas avec la Giulia et le Stelvio.
    Une DS9 et une Thesis dans la lignée de la Ghibli pour la propulsion c’est ça l’avenir du premium et rien d’autre.
    Honda en est la preuve avec ses HDG tractions aux USA, elles se font laminer comme tous les autres par Lexus.

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