Des touches tricolores à bord
A l’intérieur, on trouve également quelques traces d’Alpine qui se matérialisent par un revêtement tissu sur la planche de bord, intégrant une bande tricolore. La sellerie dédiée voit le « A » fléché s’afficher sur le dossier des sièges avant. Des surpiqures bleues marquent certains contours des assises et de la banquette arrière.
Pour le reste, peu de choses évoluent. L’espace à bord reste rigoureusement le même, tout comme le coffre. Néanmoins on ne trouvera plus de compteurs analogiques derrière le volant. En outre le système d’infotainment, Open R-Link a droit à la dernière version. Chez Renault, on le promet plus complet, plus rapide et aussi sans bug. Il faudra voir à l’usage.
Un châssis faisant toujours référence
La mise à jour de la Clio s’avère plus profonde qu’il n’y parait. La citadine au Losange de 5ème génération voit sa face avant bien plus sportive, même sans la finition Esprit Alpine de notre modèle d’essai. En passant, plus d’Initiale Paris au catalogue. Cette version reprenant la marque de l’A110 coiffe désormais la gamme.
Dans le détail, l’Esprit Alpine se distingue par des jantes spécifiques de 17 pouces à (faux) écrou central. La lame avant de couleur grise et d’autres détails font d’elle un modèle différent des centaines d’autres Clio que vous pouvez croiser chaque jour. Pour autant, ne soyez pas déçus, mais cela ne fait pas d’elle non plus une « petite » sportive.
Une motorisation hybride efficace
Les plus exigeants lui reprocheront malgré tout un manque de réactivité de la boite, quand le besoin soudain de puissance se fait ressentir. Rien de bien grave, mais cela peut surprendre les premières fois. On apprécie toujours autant son chassis, qui demeure l’un des meilleurs de la catégorie pour qui aime la conduite dynamique.
Et cela ne se fait même pas vraiment au détriment du confort. Elle demeure particulièrement agile pour une citadine, ce qui la rend particulièrement agréable à mener en dehors des agglomérations. Elle sait donc voyager, sans rendre la vie pénible pour la personne derrière le volant. Elle distille une polyvalence qui n’est pas si courante.
Une nouvelle finition Esprit Alpine
Sous le capot, toujours la même motorisation hybride de 145 chevaux, soit 5 de plus. D’après le constructeur, le système augure moins d’à-coups, et effectivement cela se ressent à la conduite. Dans les faits, les phases électriques sont en effet nombreuses. 82,6 kilomètres ont été parcourus sur la seule force du bloc fonctionnant grâce à une batterie, sur un itinéraire de 145,8 bornes.
La consommation électrique moyenne s’est établie à 4,7 kWh aux 100 km, et celle du carburant à seulement 4,4 l. L’ordinateur de bord a même indiqué une régénération totale de 6,2 kWh rendus aux cellules. Et le plus important, nous n’avons rien eu à faire de spécial pour ça, avec une conduite parfaitement conventionnelle, la voiture décidant de tout, toute seule comme une grande. On peut toutefois forcer sur de brefs instants la marche électrique.
28000 € pour une Clio….. Elle est désormais bien assez chère mon fils !
C’est cher, mais les prestations sont là… Très belle (grande) petite auto… Digne d’une bonne compacte il y a 25 ans.
Pas d’images des sièges !?
Important l’assise surtout dans ce type d’auto qui doit être agile dans les virages.
Pour avoir essayé la version 140ch (avant restylage) et doit être assez semblable je pense, je peux dire qu’elle est vraiment bien. Le moteur combiné permet de veux dépassement, elle est silencieuse et confortable. Je regrette le compteur un peu petit et très renforcé mais surtout les sièges qui maintiennent pas assez. Après c’était pas un version HG plutôt une version intermédiaire.
Quoi qu’il en soit en ville elle va très bien et en dehors aussi. Après je préfère une compacte à minima si dois faire de longues distances