Des aides à la conduite sophistiquées
A bord, on entre dans le futur de Mercedes, malgré l’absence de l’hyperscreen. On se « contente » en fait d’un écran géant, proche de celui inauguré par la Classe S. Une « petite » tablette derrière le volant sert d’instrumentation pour le conducteur. Ces eux écrans impressionnent d’ailleurs par leur haute définition et leur réactivité. Si la dalle centrale est tactile, les deux se commandent aussi via les branches du volant.
On déplore tout de même le pavillon un peu bas pour l’accès à l’arrière, et l’absence de poignées de maintien suspendues. Mais une fois assis, on dispose de suffisamment de place et d’un accoudoir pouvant recevoir deux gobelets et des téléphones/tablettes. La climatisation quadri-zone automatique assure un bien-être pour chacun. On vous passe les technologies et autres options renforçant le confort de premier ordre.
Un habitacle très futuriste
La Mercedes EQE apparait encore dans les rues comme un OVNI. Les badauds reconnaissent l’appartenance de cette berline à la marque à l’Etoile, mais ne savent pas vraiment identifier le modèle. Nous-mêmes la confondons parfois avec sa grande soeur EQS qui la dépasse de seulement quelques centimètres. Son allure en goutte d’eau ne plait pas à tout le monde, mais ces lignes ultra-fluides servent l’aéro et l’autonomie.
Cette électrique n’ayant pas les mêmes besoins de refroidissement qu’une thermique, a droit à une calandre fermée. Du coup, des dizaines de petites étoiles entourent la grande en plein milieu. Son profil très fluide intègre des poignées de portières amovibles. L’arrière hyper court dynamise l’ensemble, souligné par un pack AMG Line boostant son allure avec un peu de sportivité visuelle. On regrettera peut-être les jantes, dessinées pour favoriser encore une fois l’aéro.
Une autonomie rassurante
Sous le capot, on trouve un moteur puissant de 180 kW, soit 245 chevaux. Son couple maxi de 550 Nm suffit dans la plupart des situations de conduite. On aimerait un peu plus de réserve lors des dépassements, même si ses performances attestent de bonnes accélérations et reprises. Peut-être parce que notre inconscient associe ses dimensions de grosse voiture à des chiffres de sportives, ce qui n’est pas exactement le cas ici. On adore pouvoir jouer avec les palettes, assurant une régénération normale, renforcée ou désactivé.
Dans les manoeuvres, la voiture ne bondit pas comme le font parfois certaines électriques. Cela nous permet de s’approcher en douceur d’un pare-choc sans risquer de le toucher. La réalité des consommations impressionnent. La batterie de 89 kWh assure selon le protocole WLTP une autonomie de 623 kilomètres. A allure autoroutière, on peut dépasser allègrement les 400 bornes, en roulant à 130 km/h, voire un peu plus. La consommation varie alors entre 20 et 22 kWh aux 100 km. Sur route, elle descend autour de 16, sans forcer et ce malgré les températures élevées de ce début d’été, climatisation bien activée. La voiture nous indique alors 540 km d’autonomie ajustée.
Une EQS un peu plus courte
Sur la route, on loue la justesse des aides à la conduite. Le régulateur offre une conduite semi-automatique de niveau 2, rendant la vie facile sur autoroute et même en dehors. Stop, feux, piétons téméraires… elle nous renseigne en ville des dangers potentiels devant nous et attire notre attention sur ce qu’il faut. La nuit, les feux pointent avec un spot les panneaux de direction, ou projettent sur la route un pictogramme nous informant de notre distance trop courte avec le véhicule qui précède. Effet show-off garanti!
Les allergiques aux ADAS et aux artifices technologiques peuvent en désactiver la plupart. Mais très franchement, on a presque le sentiment d’avoir un copilote électronique à bord. Cela nous permet de mieux apprécier encore son confort de haut-vol et son comportement bien plus agile qu’on ne peut l’imaginer grâce à ses 4 roues directrices. Sans exagérer, malgré ses 4,95 m, elle tourne comme une compacte en ville. Ce qui surprend le plus dans la vie à bord? Son incroyable insonorisation, au point parfois de trouver la ventilation bruyante.
C’est un intérieur affreux et dégoulinant de bling-bling…point barre !
Finalement je ne la trouve pas plus CHÈRE qu’une merdouille diesel 220CDI …soit disant par et pour gros rouleurs…qui est supposé consommer 5.5 L/100 km …ce qui est un putain de mensonge qui dure depuis 20 ans par des journalistes complaisants…alors que j’en ai eu une classe C …et qui sur autoroute à 120/130 km (et en plus avec la clim ou chauffage) ne descend jamais à PAS MOINS DE 9/10 litres de gasoil … En ville pareil, sans compter les pannes totalement anormales d’un diesel sur 100000 km !!
Par contre Mercedes (et tous les autre constructeurs allemands) bénéficient de manière scandaleuse de la possibilité et du fait que la garantie contractuelle reste de deux ans de s’exonérer de la responsabilité de la qualité et de la FIABILITE de ses produits !
Cela leur permet de surfacturer à leur guise …et le PIRE DU PIRE c’est qu’avec la nouvelle filière de VE …de nombreuses pièces vont devenir des pièces de MONOPOLE et sur lesquelles …ils peuvent APPLIQUER les prix avec des HAUSSES sans limite !
A l’avenir ce sera totalement la JUNGLE de la part de beaucoup de constructeurs auto !
Seuls des GARANTIES étendues et sans restrictions …peuvent donner une sécurité à l’automobiliste lambda pour rouler dans l’avenir sans se faire voler !
Les arnaques sont déjà là en place…et des imbéciles ignorants y compris chez des journalistes (ils sont nombreux) sont en train de donner des gages sans limites aux chinois !!
La T3 c’est quand même particulièrement moche et peu confortable … à l’arrière c’est une purge … l’intérieur est atroce … tu peux appeler ça sobriété si tu veux …
Forcément que c’est moins cher … c’est assembler à la masse, avec des matériaux bas de gamme.
Quand tu as une baraque à 1000k et un intérieur joliment décoré et confort, tu veux pas passer ton temps routier dans une trabant.