Deux mois après la berline, Mercedes-Benz présente la nouvelle version break de la Classe E, une institution lancée en 1993 et qui se perpétue avec une 6ème génération, alors même que le segment souffre de la concurrence des SUV. Mais les constructeurs, allemands essentiellement, poursuivent, car une clientèle fidèle existe encore.
Une nouvelle mouture plus élancée
Esthétiquement, la nouvelle Classe E Break gagne en dynamisme et reprend ce que la berline a déjà montré, reprenant le « black panel » qui relie la calandre aux phares comme sur la gamme EQ, cette calandre étant, selon la finition, simple barrette avec une grosse étoile et plein de petites, ou avec 3 barrettes. Les prises d’air façon AMG sont bien plus nerveuses que celles de la précédente génération. A l’arrière aussi, le design se modernise avec des blocs optiques dont les LED sont en forme d’étoiles, ces blocs étant reliés par une barre lumineuse, ce que l’on voit un peu partout désormais. C’est de profil que le dynamisme est plus marqué, avec une découpe des vitres plus courbée, façon CLS, et une ligne de toit plus plongeante, renforçant le côté Shooting Brake sportif.
Par contre, ce style a des conséquences et se paye un peu quelque part. Si Break Classe E (W214) gagne 2,8 cm en largeur et 2,2 cm en empattement par rapport à la version précédente, ce qui devrait améliorer l’espace arrière, le volume de coffre, qui varie de 615 à 1 830 litres (de 460 à 1 675 litres en version hybride rechargeable) est en baisse par rapport à la précédente génération qui affichait des volumes de 640 à 1 820 litres. Cela reste néanmoins supérieur aux rivales germaniques que sont les break BMW série 5 et Audi A6 Avant.
Un PHEV qui promet plus d’autonomie
La seule option PHEV pour l’introduction du modèle est l’E300e, qui combine un quatre cylindres essence de 204 chevaux de 2,0 litres avec un moteur électrique de 129 chevaux. Une puissance totale du système de 312 CV permet un à 0 à 100 Km/h en 6,5 secondes et la batterie de 25,4 kWh est censée offrir plus de 100 kilomètres d’autonomie – c’est plus du double la gamme du PHEV qu’il remplace.
Si d’autres versions PHEV sont à attendre, l’offre de départ propose des moteurs mild hybrid 2,0 litres, à savoir l’essence E200 (204 CV et 320 Nm de couple) et E220d diesel (197 CV et 440 Nm de couple) issus directement de la berline et qui disposent d’un moteur électrique de 23 CV au lieu de 20 CV.Comme leurs frères berlines, les wagons Classe E peuvent être équipés en option de la suspension pneumatique Airmatic de Mercedes, mais le Estate fait mieux que la berline en offrant une suspension pneumatique standard à l’arrière de chaque modèle.
Superscreen et Tik Tok
Côté techno, le break reprend évidemment l’affichage standard du tableau de bord MBUX Superscreen et une floppée d’applications et de services connectés, dont une caméra selfie et la compatibilité des applications Zoom et Webex permettant la vidéoconférence lorsque la voiture est garée pour maintenir la productivité des types d’entreprises. Des applications comme Tik Tok et Angry Birds sont également accessibles pour tuer le temps dans un bouchon, par exemple ? D’autres technologies potentiellement plus utiles incluent la clé numérique (maintenant pour Apple et Android) et un système de stationnement automatisé, tous deux installés en standard.
C’est marrant, ces évolutions de styles, qui tendent vers toujours plus sportif.
Avant, un break était une familiale avec un côté utilitaire. Encore plus chez Merco, avec de vraies soutes à bagages.
Maintenant, un break est une revendication sportive d’une marque avec un soupçon de polyvalence. Le côté utilitaire se bornera à emporter la petite famille faire du ski à Megève.
Les breaks ont été piétinés par les monospaces puis enterrés par les SUV.
Selon moi, cette classe E break est une anomalie à notre époque. C’est bien que Mercedes propose ce choix plus cohérent qu’un SUV, mais pas sûr qu’il intéresse grand monde.
Break de chasse ? Non juste un break
Le PHEV chargé tous les soirs permet d’aller chercher la brioche de Marie Antoinette tous les matins à la boulangerie du coin en électrique…et je suis pour !!
Merco est une marque plouc et rance …il suffit de voire les intérieurs bling bling de goût douteux …et ils font rire avec leur infodivertissemet qui fait rire à son tour Musk !
Musk a bient rit de BYD, dans une interview à la télé…et oublié de dire qu’ils sont fortiches, car au faite ils vendent plus de 980000 PHEV tous les ans en Chine !
Ah la belle affaire !! Les poubelles de la Chine sont les plus grandes du monde !!
Pour revenir aux Merco c’est encore pire avec les Maybach …bonnes pour la locations de mariages ! Et il y a aussi des Maybach avec des diesels qui puent sous le capot !!
Si, si dans le 19ème à Paris il y a des VTC qui font des mariages avec à la Mairie.