Fabriqué dans l’usine de Chattanooga, au Tennessee, aux États-Unis. L’Atlas est le plus gros véhicule produit sur la plate-forme MQB du Groupe Volkswagen, avec 5.03 mètres de long et 1.96 mètre de large. Il est commercialisé sous le nom de Volkswagen Teramont au Moyen-Orient, en Chine, au Mexique en Russie, et en Chine où la production à Ningbo a débuté en 2017. En octobre 2019, le constructeur présente la version coupé quatre portes qui porte le nom de Atlas Cross Sport. L’air de rien, il s’en est vendu 43.900 aux USA en 2022, avec même un pic à 83.000 exemplaires en 2020.
Indiana Jones du canapé
Assez passe-partout et plutôt fade, l’Atlas gagne un peu de caractère dans cette Peak edition, dont le nom semble vouloir surfer sur la renommée de Pikes Peak, où VW a établi le record absolu avec l’ID.R. Il se veut plus baroudeur, mais cela reste essentiellement cosmétique, car l’Atlas n’est pas vraiment destié à sortir des sentiers battus, malgré son nom évocateur.La garniture axée sur le tout-terrain s’inspire du concept Atlas Basecamp. L’avant rend ses intentions claires car l’édition Peak a un pare-chocs noir brillant et des accents argentés contrastants. Le thème sombre est repris sur la calandre partiellement noircie, qui arbore également un logo Volkswagen illuminé.
En continuant plus loin, nous pouvons voir un revêtement de carrosserie en plastique et des accents argentés mats. Ils sont rejoints par le badge Peak Edition et des roues noires de 18 pouces qui sont enveloppées de pneus tout-terrain charnus. Les acheteurs trouveront également des capuchons de rétroviseurs noirs, des encadrements de fenêtres noirs et des rails de toit noirs.
L’arrière fait écho à l’avant avec un pare-chocs noirci et des garnitures en argent mat. Les concepteurs ont également ajouté des embouts d’échappement chromés et une bande noire sous les feux arrière. Le modèle propose également deux couleurs exclusives appelées Avocado Green et Pure Grey.
L’édition Peak dispose de panneaux latéraux supplémentaires pour éviter les éraflures et les rayures, de rails de toit et de pneus tout-terrain (255/60) montés sur des jantes de 18 pouces. Volkswagen nous dit que la plupart des changements ici sont mineurs afin de ne pas gâcher l’expérience de conduite.
Un 4 cylindres remplace un V6
à l’intérieur, la cabine bien équipée qui comprend des sièges en similicuir noir Titan avec des accents gris clair et des coutures contrastées orange. Les autres points forts incluent une garniture métallique noire et un système d’éclairage ambiant de 30 couleurs. En parlant de lumières, les acheteurs trouveront un badge « Peak Edition » illuminé sur le tableau de bord. L’Atlas est désormais livré en standard avec un tableau de bord numérique de 10,25 pouces et un système d’infodivertissement autonome de 12 pouces.
La puissance est fournie par un nouveau moteur quatre cylindres turbocompressé de 2,0 litres, qui développe 273 CV et 370 Nm de couple. C’est presque aussi puissant que l’ancien VR6 de 3,6 litres qui développait 280 chevaux et Volkswagen a promis que le moteur offrirait une meilleure efficacité énergétique.
Quand on est un constructeurs mondialisé rien n’empêche de s’adapter aux marchés d’autres continents ! Presque tous les constructeurs auto savent faire. Le thermique ne va pas disparaitre de sitôt.
Le Kia Teluride ou le Nissan Pathinder, pour ne citer qu’eux, sont hautement plus intéressants que ce VW …
Un modèle au succès plus que mitigé. Déjà le secteur est dominé par les Big Three, et puis aussi ce minable – pardon : sous dimensionné – 4 cylindres n’arrange pas les choses. Tous les concurrents alignent des V6 et des V8
Style super fade.