Pas de ZFE en deçà d’un seuil de concentration en NO2
Les agglomérations pourront ainsi être « dispensées » de mettre en place des ZFE lorsque « les concentrations moyennes annuelles en dioxyde d’azote (NO2) sont inférieures ou égales à 10 g/m3 » précise un décret publié au Journal officiel le 24 décembre dernier. Ce niveau correspond aux seuils de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), plus exigeants que les seuils fixés actuellement au sein de l’Union européenne.
Une dizaine d’agglomérations concernée
Selon le gouvernement, une dizaine d’agglomération pourraient bénéficier de cette dispense sur la quarantaine de collectivités qui auront l’obligation de mettre en place leur ZFE respective au 31 décembre 2024. H Actuellement, 11 métropoles ont installé leur ZFE (Lyon, Grenoble, Strasbourg et Paris…) imposant notamment aux transporteurs des conditions drastiques.
Notre avis, par leblogauto.com
Si cet assouplissement devrait certes permettre un temps soit peu de restreindre les contraintes pesant sur les agglomérations et les personnes qui y circulent, les professionnels du transport routier de marchandises (TRM) continuent leur lobbying auprès du gouvernement – via France Logistique – pour que celui-ci impose aux collectivités des règles et un calendrier harmonisé. L’organisation estime que l’Etat et les collectivités doivent revoir leur copie sur les zones à faibles émissions (ZFE). Selon elle, « les projets d’interdiction d’accès aux véhicules de transport de marchandises ne sont pas réalistes au regard du déploiement des solutions alternatives (offre en véhicules, énergies et réseaux d’avitaillement) ».
L’association milite également pour le classement rapide en Crit’Air 1 des camions alimentés aux biocarburants, au gaz et aux carburants de synthèse. Selon France Logistique, des ajustements sur les aides financières sont également nécessaires pour correspondre aux motorisations alternatives disponibles sur le marché.
Depuis sarko, on a des fumiers au pouvoir en france……Transformation du réseau routier en stalag pompe à fric sous couvert de sécurité routière (la france est le pays champion des refus d’obtempérer et délits de fuite avec des gens qui se retrouvent coincés par la perte d’un capital points inique (6 chez les jeunes français quand un jeune espagnol commence avec 12 puis 16 au bout d’un an)…..Le sabordage des services publics au profit d’intérêts privés sans pour autant alléger une fiscalité au taux de l’usure pour gaver une caste féodale dont la cocarde est usurpée, et depuis les gilets jaunes qui est la première révolte courageuse contemporaine, sâpée par la france bourgeoise rance pleutre à mentalité de laquais, la mise en place de ségrégations ou d’apartheids sous ausweis, sanitaire lors du covid, et maintenant pseudo environnemental et même urbaine avec les métropoles sous vignette de couleur donnant droit ou non de se mouvoir (méthode de salopards calquée sur les méthodes nazies avec ses étoiles et ses triangles, et surtout des préoccupations réelles lucratives ou d’asservissement) maquillées de pseudo considérations d’intérêts public alors que cette stratégie française puante d’une petite bourgeoisie pétainiste, à grand renfort de contrôle automatisé stérile et de gestion privée n’a qu’un objectif, le lucre et le pillage de la ressource commune……Marseille est la caricature de cette fumisterie en marche…..des vignettes et des radars pour verbaliser la plèbe circulant dans des véhicules anciens pourtant vendus homologués avec un contrôle technique à 80 balles certifiant leur état, et les bateaux de croisières des multinationales crachant même appontés du fioul lourd sans aucun contrôle pour nous amener des blaireaux low cost consuméristes
Edicter des règles contraignantes puis les alléger ensuite, la méthode est connue. Cela permet dans un premier temps de montrer qu’on prend le problème à bras le corps avant d’être confronté à la réalité lorsque l’échéance approche.
Ce n’est que provisoire. Ceci dit, on est bien en présence de deux forces antagoniste concernant l’urbanisme. D’un côté des urbains qui cherchent à sortir des villes pour aller s’installer dans une maison en banlieue plus ou moins proche, de l’autre des pouvoirs publics favorisant des centres-villes propres, technologiques et sûrs.
Les villes hyper polluées, bruyantes et sales ce n’est plus acceptable ni accepté. Qui imaginerait de nos jours la présence de diesels crachant de la fumée noire en ville ?
Les ZFE je ne suis pas contre mais les investissements en infrastructures de transport en commun vont être colossaux. Est-ce que nous en avons encore les moyens ?