Le coup du Maestro
Développé sur une base châssis et mécanique de Giulia TI pour des raisons de budget et de temps, le concept-car Montréal est signé stylistiquement par la nouvelle pépite du studio Bertone, Marcello Gandini, qui vient de se faire remarquer avec le dessin génial de la Lamborghini Miura. Le succès d’estime est tel qu’une mise en production est finalement actée par le Biscione.
3 ans plus tard, la version de commercialisation arrive à Genève. Enfin presque. Il faudra attendre 1971 pour voir les premiers modèles sortir d’usine, car c’est au forceps qu’Alfa Romeo a dû accoucher de son nouveau bébé. Un délai plutôt long qui s’explique par les difficultés d’adaptation de la mécanique. En effet, le showcar compact de Montréal se contentait du 4 cylindres 1600 de la Giulia, alors que le coupé définitif, qui doit servir de porte-étendard, embarque un V8 dérivé de la Alfa Romeo 33 de compétition. Pas la même chose, en encombrement comme en répartititon des masses !
grand style
Malgré quelques concessions imposées par le cahier des charges – un moteur à l’avant, 4 vraies places et un grand coffre – Gandini livre une nouvelle fois un beau résultat, avec un coupé aux lignes racées et aux arêtes vives qui entre de plein pied dans les années 70. La ligne est élancée, sculpturale, avec des surfaces vitrées réduites et un pare-brise plongeant. C’est presque une « baby Miura ». La ligne de caisse a dû être rehaussée pour l’intégration du V8 mais la « patte » du concept de 1967 est préservée. La signature caractéristique de la Montréal, c’est évidemment son regard, souligné par un étonnant carénage ajouré rétractable. D’autres petits détails relèvent du pur exercice de style, comme la prise d’air type Naca sur le capot, totalement factice, ou encore les ouïes d’aération sur les ailes arrière, qui avaient été prévues à l’origine pour un moteur en position centrale-arrière.
Du cœur et des défauts
Couplé à une excellente boîte ZF 5 rapports, le V8, issu de la Tipo 33 et réalésé à 2.6 litres, avec allumage électronique, est un régal pour les oreilles, alors que l’injection mécanique Spica causera bien des tracas. Le régime moteur a été abaissé de 11000 à 7000 trs/min en privilégiant le couple pour une utilisation routière. Les 200 chevaux semblaient un peu justes, au moment où les muscle cars américaines affichaient des valeurs délirantes, mais les 1270 kilos du coupé de 4,22 mètres seulement permettaient à la Montréal de proposer des performances très correctes (222 Km/h en pointe et 0 à 100 en 7″1).
Pas aidée par le choc pétrolier, moyennement fiable et finalement trop « patchwork » pour les vrais amateurs de sportivité, la Montréal fut un échec commercial, avec moins de 4000 ventes au cours de sa carrière comprise entre 1971 et 1977. Longtemps mal aimée, elle retrouve depuis quelques années la côte auprès des collectionneurs. C’est une vraie Alfa, aussi sublime que capricieuse. Comment résister à ce charme à l’italienne, à cette exquise imperfection ?
Image : wikimedia commons
Ce qui est caractéristique avec Alfa Roméo (mais aussi les autres marques Italiennes) c’est sa constance dans le manque de fiabilité tantôt mécanique tantôt électrique voire les deux ensemble si on a un peu de chance.
C’est sûr que Ferrari manque de fiabilité?!?? Lambo aussi ….
Sam : oui, les deux, pendant très longtemps.
Ca a changé mais faire 100 000 km en Ferrari c’est une gageure.
La preuve du contraire. 160.000 km.
https://www.youtube.com/watch?v=LUTH8OmpfZk
De mémoire, les Ferrai ont commencé à être relativement fiable avec la F355 de 1994 (348 fiabilisé)
Et parfaite avec la 360 Modena de 1999.
Avant un camion-plateau comme accompagnement était indispensable pour les voyages.
Les Lambo ont été fiables après le rachat d’Audi.
Pas vraiment à en croire leurs propriétaires. Mais bon, c’est pareil pour Mclaren, voir pire au niveau bugs.
A part Porsche mais qui joue un cran en dessous en terme de puissance, aucunes sont assez fiables, exempte de bug pour rouler au quotidien
C’est tellement le cas que c’en est devenu une blague commune auprès des « Ferraristes », à dire que ce sont des barbecues sur roues, ou que le retro centrale est pour voir si le moteur prend feu.
Car les Ferrari (surtout les anciennes; mais ne pas oublier les déboires récents qui ont rappelé les vieux démons) sont bien connues pour prendre feu à tout moment, tomber en panne pour un oui ou pour un non, avoir des embrayages en papier canson etc…
Lambo, c’est la même chose, en pire.
Comme disait mon coiffeur, quand une italienne ou une française a un problème, les cons disent « Normal, les italiennes/françaises c’est de la merde. Quand une allemande a un problème, ces même cons disent « Il a pas eu de chance », ou « C’est leur maladie »…ou mieux ils n’en parlent pas trop…t’as l’air con de payer plus cher pour avoir une bonne finition et quand même tomber en panne. Les discussions de comptoir ont encore un bel avenir devant eux..
« Un rétroviseur, » masculin, pas besoin de ‘E’ à « central ».
Mais c’est la mode,à l’heure actuelle, de mettre de « E » là où il n’en faut pas et d’en omettre là où il en faut.
Les lambo d’aujourd’hui ne doivent plus avoir grand chose d’italien aujourd’hui non ? Le style et le positionnement peut être ?
@zeeBiX
Et le moteur V12 ainsi que le site de production.
Au moins, les Alfa sont belles. Car les allemandes sont toutes autant peu fiables, mais sans être belles !
Oui @shooby, les Alfa sont belles, enfin la 75 …. Moyen quand même !? 😉
elle fut, elle est, et restera longtemps
une icône du design automobile italien!
Superbe!
Belle et iconique en effet. Si il faut être juste, plus iconique que parfaitement belle mais c’est là son charme’ j’adore les phares manœuvrables et ces ouvertures arrières.
Sublime. Objet de collection. Zont un catalogue de sublimes bombes qu’on n’arrive pas à comprendre comment Alfa en est arrivé là. Puisse le feu sacré revenir habiter ce label.
Alfa en est arrivé là parce que BMW, son concurrent direct, a sorti des décennies de voitures fiables et tout aussi excitantes à conduire.
Cela n’ est qu’ une partie du probleme: Alfa a aussi souffert d’ errements strategique (arna), et de l’ abandon par l’ Etat italien. Les premieres annees Fiat furent egalement assez douloureuses.
Le charme est intact. On sait qu’on a toujours des travaux quand on cherche ce genre d’auto et si on veut réellement rouler avec. Au temps où l’ Alfetta GTV6 coupé fonctionnait très bien, j’avais essayé une Montréal . La voiture m’avait semblé lourde, ne pas avoir le potage décrit et la tenue de cap s’identifiait à une voiture d’ancienne génération. Si on aime les Alfa, on doit avoir une Montréal
…on doit avoir une Montréal . une 33 TT compétition , c’est assez inabordable. mais pour qui aime les Alfa , j’invite à ce lien avec Arturo Merzario.
https://www.youtube.com/watch?v=RWe_bcu36YE
J’ai lu en commentaires quelques lignes assez désagréables pour Alf Roméo. Ce sont probablement des connaisseurs qui ont fait de longs parcours en Alfa Roméo…
J’en ai possédé quelques unes , La montréal , je l’ai eue un après midi seulement. Les Alfa que j’ai possédées, j’en dis du bien encore à présent.
Elles ne m’ont pas coûté des fortunes par rapport au plaisir partagé de l’époque qui elle aussi était meilleure pour l’automobiliste en général.
Justement sa cote est en relation directe avec sa fiabilité – disons le mot : désastreuse.
Un bon vieux V6 Alfa aurait tout changé.
à cette époque c’était plutôt le 6 en ligne. le v6 est arrivé pour l’Alfa6, décliné sur l’Alfetta ensuite
C’est dommage que FCA (Alfa) n’essaye pas de faire une sorte de Mustang (Capri) pour l’Europe avec une Montréal de 2022 avec comme synergie chez PSA un 508 coupé, digne des plus beaux coupés de chez Peugeot.
Voilà une piste éventuelle d’un digne retour aux sources pour faire renaître la passion automobile.
Des versions PHEV seront néanmoins indispensables pour être compatibles avec la réalité d’aujourd’hui.
JE NE PARTAGE PAS VOTRE AVIS SUR LA PLATEFORME ISSUE d’un coupé 508 Peugeot ! La Montréal avait des concurrentes comme Aston Martin, Toutes des voitures avec gros moteurs, propulsions. toutes ces autos tapissaient ma chambre de gosse de l’époque – Par contre la nouvelle plateforme de la Giulia pourrait avoir une variante en déclinaison . Propulsion peut accepter grande puissance , gros moteur. Le moteur, idem c’est en Italie qu’il faut fouiller. Les voitures européennes, et italiennes ont toujours bien plus de prestige que les autos américaines. ça n’a pas changé, malgré le fiel qu’on peut lire en direction des mécaniques italiennes sur LBA. Pour ça, j’ai écrit sur le sujet Facel que le moteur a contribué à la perte de Facel et qu’une mécanique Alfa Roméo encore aujourd’hui reste valorisant pour la voiture.
on ne va pas énumérer sur le sujet les soucis des mécaniques Allemandes, elles ont si bonnes réputations qu’il faut taire tous les sujets . Par contre les mécaniques italiennes qu’est-ce qu’on aime à se moquer. Moi ça me fait rigoler aussi parce que rien que Fiat sortait de série des doubles arbres à cames, sans soucis de traitement métaux, eux, alors, « qu’ailleurs » on en était encore au temps du moteur de la juva4 , arbre à cames latéral, parfois soupapes , elles aussi , dans le bloc, latérales et donc puissance très faible par rapport aux mécaniques italiennes. la Fiat 132 avait le dble arbre. ce n’était pas une Ferrari.
les bagnoles là, roulaient à merveille.
@labradaauto, rien n’oblige FCA & PSA de choisir la plateforme de 508 pour leurs coupés en commun.
Là, pour passer la puissance, j’avoue que la plateforme de la Giulia justifier plus son utilisation.
Il faudrait qu’ils choisissent !
Moi il me semble que les plateformes des segments A à C il y a un net avantage de PSA, à partir de segment D il y a effectivement match, c’est là que l’on se rend compte qu’Alfa a encore des très bons restes.
Une belle machine, bourree de defauts, mais sexy en diable.
Une vraie Alfa en somme.
Je cherche cela dit la Peugeot equivalente selon SGL…
Ici, dans ce cas @greg, il n’en a pas … Bien que la 504 V6 Coupé n’était pas un laideron.
En prime il était fiable ! 😉
Attention, j’ai (également) jamais dit que Peugeot était le pendant d’Alfa, il ne faut pas me faire dire des choses que je n’ai jamais dit !
Enfin fiable, mécaniquement, oui, la partie Italienne avait tendance à rouiller.
Non, c’ est plus insidieux: tu as ose dire que Peugeot offrait des produits concurrents qui etaient parfaitement competitifs, ce qui revient en substance a les placer au meme niveau.
@greg, dans tes rêves !
J’ai dit que QUAND il avait l’équivalent, les Peugeot n’étaient jamais des sous-voitures par rapport aux Alfa !
…chose que l’on entend ici parfois et qui sont des « commentaires délirants » face à une évidence. 😉
Je préfère amplement une « belle machine, bourree de defauts, mais sexy en diable » comme ça, qu’une « machine sans défaut mais sans âme » comme la Golf.
Oui 🙂 Ça se défend…mais pour aller tous les jours au boulot !? 😉
Il faut comparer ce qui est comparable. Alfa ce sont des voitures sportives 100%-emotion. La robe et le plaisir passent avant tout.
Tu compares avec un produit polyvalent de generaliste cense plaire au plus grand monde.
Et soit dit en passant, je ne comprend pas vraiment l’ interet de ta remarque, si ce n’ est vouloir deverser un peu de fiel sur une marque et un produit qui n’ ont rien a voir.
Décidément @greg 😯
C’est toi qui ça !?
« Il faut comparer ce qui est comparable »
Tu ne te foutrais pas un peu de la gueule du monde… par hasard ?
Charité bien ordonnée commence par soi-même !
C’est pas moi qui me fout de la gueule du monde en disant que Peugeot=Alfa hein….
Tu ne consultes plus ou quoi? Tu compares ce qui n’est pas comparable, et tu viens me reprocher ma constance.
Tu t’enfonces, à ce niveau tu vas trouver du pétrole.
Après si tu trouves logique de comparer une Golf à une Montreal, là je ne peux vraiment plus rien pour toi. C’est même plus du domaine de la pathologie.
Ça ce n’est pas moi @ greg, c’est sur ta façon de donneur de leçon
« Il faut comparer ce qui est comparable »
Moi, je sais comparer avec ce qui est comparable…. Toi, tu viens de nous prouver magistralement que tu me soupçonnes de faire des comparaisons totalement débiles.
Balai devant ta porte !
shooby
la golf avait une boite de vitesses mal étagée – la seule que j’ai trouvé ok c’était la toute première Bte 5 des golf 1.6 gti – les autres avaient des trous – Une Alfa n’a pas de défauts TRES GRAVEs de cet ordre pour une auto sportive – d’ailleurs les autos italiennes, même la nuova 500, la panda, l’autobianchi a111 , a112 ONT TOUTES UNE BOITE bien étagée. ça: ça date depuis TOUJOURS !
Chez Alfa: on a jamais écrit boite 5 vitesses sur la vitre arrière ! pas besoin – On le savait ! et le double arbre 1.3,1.6,1.8,2.0 répondait sans en crier, écrire publicité – c’était tacite !
Tous les constructeurs ne peuvent en dire autant .
LES BM idem ! si on optait pas pour les boites getrag : des trous dans l’étagement – Une Alfa 4,6,8 cylindres a un moteur qui a du caractère, du couple aidant à tous les usages. C’est juste pour ça que je n’aime pas lire une auto bourrée de défauts que j’écris ça .
..évidemment dorénavant qu’on a plus le droit de se servir des autos, les gens qui ne font pas de rallyes, côte, circuit ou autre kermesse où le conducteur peut un peu rouler, on ne juge les autos que sur les documents écrits du constructeur et pour sur le coup d’oeil. c’est d’ailleurs pour ça que les autos ont pris du volume . il faut que « ça claque sa mère! »
Les Alfa ont toujours une belle robe, mais aussi de bonnes mécaniques. on vit de sa réputation
la montreal avait un boitier de direction qui ne donne pas la précision, le toucher du volant des autos actuelles, mais sa boite de vitesses est parfaitement étagée. Son moteur: on lui a remplacé ses arbres à cames pour la civiliser. Son moteur est un moteur conçu pour la course, les hauts régimes. Il y avait cette pompe d’injection pas top. Mais si elle était parfaitement calée, révisée, l’auto fonctionnait bien. C’est aujourd’hui une auto qui se doit d’être comparée avec des véhicules de sa génération. on ne doit pas tout mélanger. Ce n’est pas qu’une belle auto non plus. c’est une bonne auto à conserver – j’envie qui en possède .
L’ ingenierie et le design sont italiens.
Il y a certes des composants et des methodes de productions allemandes, mais les plateformes et les moteurs (V10 et V12) sont developpes en Italie. La seule exception etant l’ Urus ou la maitrise d’ oeuvre technique etait davantage chez Audi que Lamborghini.
Personne ne dit le contraire @greg
@greg
Le V10 n’est pas d’origine Audi ?
Bien sûr @ zafira500
Il faut reconnaître que la « patte » d’Audi est de plus en plus là !
Oui et non. Le developpement a ete assure par Lamborghini, en utilisant un proto maison developpe dans les annees 80-90, et en utilisant la structure du V8 Audi.
Le V10 vient de chez Audi et le V8 de chez Porsche
Non, tu as dit precisement : « Historiquement, les Peugeot HdG ou sportive ont toujours été du niveau des Alfa. »
https://www.leblogauto.com/2020/02/bilan-2019-fca.html#comments
C’ est pas du tout la meme chose que ce que tu viens de dire. 🙂
Tu places bien les marques au meme niveau, tout en ajoutant un « toujours » denue de toute nuance.
C’est complètement débile ta réflexion, bientôt, tu vas me reprocher de ne pas avoir comparé une 106 XSi avec une Alfa 8 C.
Je sais ce que j’ai dit, et je n’en change pas une virgule !
Bizarrement, tu ne réponds pas à mes questions :
« Peut-on dire qu’un 208 GTI est nettement inférieure que la meilleure des MiTo ?
Peut-on dire, aussi, qu’un 308 GTI est nettement inférieure que la meilleure des Giulietta ? »
Et pas de commentaire avec ce lien
Veille Peugeot VS Alfa actuelle !
https://www.automobile-magazine.fr/matchs/article/9451-essais-matchs-alfa-romeo-giulietta-1-4-multiair-170-selective-contre-peugeot-308-gti
C’est ta réflexion qui est débile mon ami, tu essaies de trouver une échappatoire, mais tu as vraiment dit , LES Peugeot « sportives et HDG » ont TOUJOURS été au même niveau qu’Alfa Romeo. Pas quelques-unes dans un cas donné, non non tu as été absolu.
Ou alors tu ne sais plus parler le français.
Car ça c’est une connerie de fanboy, tu es carrément allé jusqu’à sortir des exemples abracadabrantesques remontant aux années 30 pour essayer de justifier ta sortie ridicule.
Mais si tu veux dire en substance que tu as (encore) dit une connerie, alors dont acte 🙂
Non non aucun échappatoire mon bonhomme, je ne renie RIEN !
C’était parfaitement clair sauf pour toi … LES Peugeot « sportives et HDG » ont TOUJOURS été au même niveau qu’Alfa Romeo. Quand l’équivalence existe cela va de soi. (sauf pour les demeurés !?)
Donc, chez toi, on s’adresse forcément à des débiles qui comparent une 106 XSi avec une Alfa 8 C.
Qu’est-que, c’est con ce que tu dis mon pauvre garçon !
« tu essaies de trouver une échappatoire, »
T’inverse pas les rôles !?
Réponds à mes questions, et tu verras que j’ai forcément raison !
Le « toujours » c’est bien quand il y a l’équivalence ! C’est Français !?
Ce sont les Peugeot HdG ou sportive qui ont été TOUJOURS été du niveau des Alfa.
Je n’ai jamais dit qui avait TOUJOURS l’équivalent chez Peugeot… OK ?
Cela me semble pourtant être très clair !!!!
Elle était et reste vraiment belle.
Un petit air de Pontiac GTO des années 70.
Sympatoche
???
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Quelques erreurs dans votre sujet:
– la Montreal n’a jamais été prévue pour un moteur en position centrale; ce furent des déductions à cause des ouïes d’aération latérales
– elle est une stricte 2 places, comme mentionné dans le livret d’usine. Les places arrières sont dévolues aux valises, du reste les crochets sont apparents au centre et aucun rembourrage de siège.
SGL: ce sont les chiffres qui pousseront les choix , sans doute. Le monde industriel est plus en guerre économique que pour plaire aux consommateurs. Et d’ailleurs sont-ils si nombreux dans ce créneau et ont-il véritablement la passion ? L’auto est devenue un objet de standing à ce niveau, bien davantage que la pépite bourrée de qualités pour faire le chrono au Nürburgring. Ce critère n’est privilégié que si le constructeur en fait tapage médiatique.
Alfa a encore de très bons restes ! Vous écrivez ! ça fait mal au ventre à lire ! Il y a 30 ans en arrière, des gens comme moi n’aurait jamais osé comparer Alfa Roméo à autre chose. Ainsi va la vie. Oui Beaucoup de dégâts en Autos italiennes !
« n’aurait jamais osé comparer Alfa Roméo à autre chose »
@labradaauto pourtant même chez les Italiens, de nombreuses personnes disaient que les Lancia étaient parfois supérieures aux Alfa…là on ne pourra pas me soupçonner de faire du nationalisme, comme quoi même dans une bagarre Italo-Italienne.
C’est sûr que maintenant pour Lancia, les temps ont changé !
Lancia a eu ses heures de gloire. je ne parle pas du rallye avec Césare Fiorio mais du temps de l’Aurélia B20 puis la Lancia 2000
de 71 à 75 avec son moteur si particulier à caler pour sa distribution, cylindres décalés . La Lancia 2000 , c’est celle-ci qui avait la réputation en Italie de bonne auto, belle voiture. A cette époque Alfa produisait la Giulia, puis l’Alfa 2000 .Vint plus tard l’Alfetta. Oui ces 2 marques étaient prestigieuses et dominaient sur les autostrade en Italie . Les amoureux de l’auto aimaient aussi la Citroën DS en son temps. Pour moi, l’Italie , je ne sais pas si c’est encore le cas actuellement, mais on comptait grand nombre de mécaniciens préparateurs, tant à moto qu’autos. Brescia est un berceau de mécaniciens. Les meilleures Opel connues en rallye étaient préparées en Italie. J’ai quelques connaissances en Italie de gens vraiment doués, passionnés. personnellement j’ai beaucoup appris par leur contact.Certains ne sont plus là -Rien que la boite à outils du mécano italien était différente de celle qu’on voyait en France – Les italiens sont ingénieux, très débrouillards – Donc en Italie, on aime la 500, et aussi la Ferrari. Fiat a nourri combien d’italiens ? Alfa Roméo détient son prestige du temps des courses d’avant guerre surtout. Alfa c’était avant Ferrari. Je ne sais pas si les Italiens sont nationalistes. Je ne crois pas. On y voit aujourd’hui de nombreuses voitures étrangères, exactement comme chez Nous. Beaucoup d’Italiens du sud ont émigré en Allemagne , y sont revenus avec des autos allemandes -L’Italie n’est jamais en retard. Dans la mode, elle donne le « la » du prêt à porter de la rue. En Musique, ils ont les studios. Encore à présent j’écoute beaucoup de musique italienne.Je la préfère au rap français – La France, c’est la haute couture, une culture différente. J’ai aussi pas mal voyagé en Italie Il m’est arrivé des aventures. En France, j’aurais dû laisser ma voiture pour avaries, rentrer par le train. En Italie : On parle avec les mains,alors on fait, on répare,et on repart ( image vécue pourtant ).
« Alfasud, le bon et le mauvais génie d’Alfa Romeo »
https://www.challenges.fr/automobile/anciennes/alfasud-le-bon-et-le-mauvais-genie-d-alfa-romeo_690384