Baojun présente sa 3ème mini-citadine électrique

  • Nom encore inconnu : E300

  • Caractéristiques techniques très proches de la E200

Depuis plusieurs mois déjà, Baojun s’est taillé une jolie place dans les ventes de véhicules électriques en Chine. La marque de la coentreprise SAIC-GM pointe ainsi 4ème du marché, avec près de 7% de pénétration. Et les véhicules électriques représentent désormais 7% de son volume. Différence de taille face à ses concurrents, ces résultats ne sont pas obtenus avec des berlines ou des SUV des segments C et D. Mais par un duo de petites citadines à 2 places, le E100 et E200. La E200 surtout semble bien fonctionner, malgré, ou grâce à un style bien particulier.

Le style est au cœur de l’évolution de l’image de Baojun, comme l’ont montré les E200, RS-3, RS-5, RM-5 ou RC-6. Cette nouvelle venue, qui pourrait adopter le nom de E300, confirme. Ses détails exploitent à fond les squircles (carrés aux angles arrondis…), pour lesquels GM évoque l’écho des ondes radar. Et la forme générale rappelle un « pod » posé sur une plateforme. Un aspect futuriste qui colle au design de la marque qualifié officiellement de « géométrie interstellaire »…

Sauf surprise, elle devrait partager son moteur avec ses deux sœurs : 29 kW / 39 ch et 110 Nm aux roues avant. Il en va de même pour la batterie : 24 kWh pour 250 km d’autonomie (NEDC). Idem pour sa longueur qui ne devrait pas dépasser les 2m50 pour environ 1m50 de large et 1m60 de haut.

Notre avis, par leblogauto.com

Baojun confirme son positionnement comme une marque à part en Chine. Une marque qui réussit à vendre des petites voitures, et une marque qui ose un style décalé sur un marché sur lequel tant d’autres constructeurs misent sur l’immobilisme stylistique.

(6 commentaires)

    1. Oui une Smart For-Two EQ fabriquée en France ( UE).
      Si on veux plus petit : un Renault Twizy fabriquée en Espagne ( UE).
      Si on veut un peu plus gros : Skoda CityGo eiV fabriquée en Slovaquie (UE).

      Et dire que pendant ce temps là, des citadins choisissent un diesel pour faire moins de 10 000km/an. Et pire certains veulent posséder leur propre voiture, souvent un modèle banal, pour faire 6 trajets depuis chez eux par an.

  1. Le gros malheur de l’Europe, est que l’absence de frontières pour le commerce, mais aussi l’absence de politique énergétique, ce type d’auto est inenvisageable de la voir en construction dans une usine en Europe avec sa batterie.
    Nous serons bientôt obligés de consommer Chinois pour nos petits véhicules, pourtant indispensable en l’absence de TC efficace.

    1. Si tu regardes PSA, tu as sans doute raison, puisqu’il se désintéresse aux petites voitures.
      Mais si tu regardes Renault, avec la smart (twingo prêté à Mercedes) et a sa futur version Française en twingo électrique pour fin 2020? Alors on peux espérer une présence Française.

      1. Espérons… Espérons !
        L’Europe passoire pour les produits manufacturés Chinois (et US, pour l’armement)qui créait le chômage et la pauvreté à termes en Europe.
        L’Europe, l’idiot du village mondial, qui ouvre ses frontières à tout le monde et qui voit ses produits en restriction pour l’export en Chine et les USA.

      2. la plateforme e-CMP pourrait servir à concevoir une mini citadine électrique, dans sa version empattement minimale (existe en 3 tailles) et largeur minimale (en 2 tailles), et porte à faux réduit au strict minimum (moins de capot moteur et moins de coffre)

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