En début de semaine, Maserati a fixé un rendez-vous au printemps prochain, sans plus de précision.
Le constructeur italien a diffusé une vidéo teasing très brève en début de semaine. Il y fixe juste un rendez-vous au mois de mai de l’année 2020. La vidéo distille un son de moteur qui ressemble à celui d’un V8. Voilà tout ce dont nous disposons.
Cette semaine également, Maserati a par ailleurs diffusé des images de la toute dernière GranTurismo produite. Le dernier exemplaire a eu le droit à un traitement spécifique qui lui a valu le petit nom de Zéda ainsi qu’une peinture toute particulière… On sait en outre que la nouvelle Alfieri doit être dévoilée dans le courant de l’année prochaine. Il est donc probable que le rendez-vous fixé au mois de mai 2020 corresponde à la présentation de cette Alfieri tant attendue qui, a minima, pourrait être une hybride. On notera en outre que cette présentation n’aurait pas pour cadre le salon de Genève, au mois de mars, traditionnel rendez-vous pour les constructeurs de sportives ou de voitures de luxe.
L’avis de Leblogauto.com
Il est grand temps pour Maserati de se réveiller d’autant que Ferrari ne s’endort pas puisqu’il vient de dévoiler une Roma qui complète son entrée de gamme.
Image : Maserati
S’ils veulent préparer durablement l’avenir, le V8 ou pas, l’auto devra être un PHEV.
Après, ils pourront envisager de descendre en gamme pour faire des plateforme et GMP compatible avec les Alfa, DS et peut-être les hauts de gamme des Peugeot et Opel ainsi que Lancia (Tavares veut garder la marque, ouf !) sur base de 6 cylindres hybride obligatoirement.
« Tavares veut garder la marque, ouf ! »
Oui enfin c’est ce qu’il dit. Entre les desiderata et la réalité, il y a un monde.
De toutes façons si fusion il doit y avoir, certaines marques y laisseront – malheureusement – leurs plumes.
Moi, je verrai très bien Lancia devenir une marque « cousine » de DS, avec l’extérieure 100 % différent et ce qui ne se voit pas 80 % identique.
Une nouvelle Ypsilon cousine d’une DS2 sur plateforme CMP par exemple !
…et pour commencer.
Maserati pourrait elle reprendre la Roma en y apposant sa calandre ?
Vous avez compris l’idée… pourquoi tant privilégier Ferrari et si peu Maserati ?
Ferrari et Maserati n’ont plus de liens capitalistiques.
Ce ne sont plus deux filiales de FCA puisque Ferrari a été sortie du giron.
Donc il faudrait que Maserati paie (cher) pour récupérer la PF et les moteurs.
@Thibaut : l’argent qui sort de la poche gauche revient tout de même dans la poche arrière du propriétaire du portefeuille ou même plus ?
Ah non !
Je suis Monsieur Emme, je suis actionnaire de la société A et de la Société B. Mais A et B n’ont pas de lien capitalistique.
Si je fais passer de l’argent de A à B directement c’est illégal.
De même si je me sers dans la caisse de A pour aller dans ma poche pour alimenter la caisse de B.
Et même si la société A possédait la société B, faire remonter l’argent de B vers A ne se fait pas comme cela (mais c légal, c’est ainsi que l’on fait remonter de l’argent vers une société aux Pays-Bas, ou que l’on fait cracher de l’argent d’une filiale vers la maison mère).
J’irais même plus loin. Vous êtes pleinement propriétaire de la société A (on va dire que vous êtes commerçant).
Vous avez besoin d’acheter du pain et donc vous prenez 1 euro dans la caisse.
BIM abus de bien social.
M. Emme le châssis de la prochaine 208 alors?
Et bien ?
Deux sociétés différentes et presque concurrentes avec la fusion FCA-PSA.
A moins que Ferrari rachète totalement Maserati, ce qui ne serait pas une mauvaise idée pour monter en cadence.
Oui mais là c’est en Italie 😉
Porsche n’a jamais rien développé pour Audi ou Renault dans le passé … ou encore Mercedes.
La Porsche 924 devait être une Audi.
La RS2 était clairement affichée Porsche avec ses rétroviseurs et jantes cup.
C’est beau de rêver, hein. ?
Perso, je suis beaucoup moins enthousiaste que toi.
Qu’a fait Tavares avec Opel !?
Entre RIEN faire, et faire en coopération des bonnes voitures.
@SGL
La question est de savoir si Tavares aura les pleins pouvoirs (je te rappelle qu’en dépit des apparences, il ne sera pas le vrai patron de l’éventuel futur groupe, mais un salarié). De même, il y a une grande différence entre redresser une marque et onze (là, il va y avoir du boulot). Mike Manley aussi nous avait fait espérer, on voit le résultat.
Enfin, supputer sur les décisions dans une fusion qui n’est pas encore faite, c’est mettre la charrue avant les bœufs.