Aston Martin s’apprête à lancer le premier SUV de son histoire. Avec le DBX, il ne s’agira pas pour autant d’affoler le compteur de ventes.
Au mois de septembre 2018, une rumeur avait fait état d’un seuil maximal de production annuelle à ne pas dépasser pour celui qui a été confirmé devenir le DBX, soit le premier SUV commercialisé de Aston Martin. Ce seuil a été récemment confirmé par Andy Palmer, le patron de la marque anglaise. Il a été fixé à 5 000 unités. Celui-ci vise à préserver une certaine exclusivité à ce véhicule dont les lignes ont déjà été teasées à plusieurs reprises.
Assemblé dans sa nouvelle unité écossaise, le DBX verra sa production légèrement décroître une fois qu’il aura été rejoint par le futur SUV électrique de Lagonda, en 2023. La production totale sera d’environ 7 000 véhicules par an, réparti comme suit : 4 000 unités pour l’Aston Martin, 3 000 unités pour le Lagonda.
Palmer en a aussi profité pour indiquer que l’actuelle Rapide n’aura pas de descendance quand bien même la Rapide E a été lancée récemment. Le patron de Aston Martin et de Lagonda a d’ailleurs souligné que le nom Rapide est plutôt associé à la seconde marque. Faut-il imaginer une prochaine Lagonda Rapide ? Peut-être.
L’avis de Leblogauto.com
Avec le DBX, Aston Martin va changer. Le construteur anglais vise toutefois un certain degré d’exclusivité puisque l’objectif total de vente annuel se fixera à moyen terme sur 14 000 véhicules.
Photo : Aston Martin