Niels Van Roij rend hommage à la Ferrari Breadvan

Après nous avoir gratifié d’un élégant break sur la base de la Tesla Model S, Niels Van Roij revient avec un nouveau projet de break, plus particulier. Il s’agit en effet d’un hommage à l’unique Ferrair 250 GT Breadvan.

La Ferrari 250 GT Breadvan occupe une place bien à part dans l’histoire de Ferrari. Outre le fait d’être l’un des rares « breaks » réalisé sur l’un des modèles de la marque, elle est historiquement proche de la mythique 250 GTO. C’est qu’elle partage avec elle ses illustres pères: Carlo Chiti et Giotto Bizzarini. Tous deux ont quitté avec fracas Ferrari à la fin de 1961, avant la finalisation de la GTO, puis ont mis au point cette 250 GT particulière pour le compte de la Scuderia Serenissima du Comte Volpi. En reprenant une partie du travail accompli sur la GTO. Son surnom de Breadvan lui est venu par son design particulier avec son toi plat et son arrière tronqué, sans qu’il y ait de volonté de réaliser un « break » à l’origine.

Le styliste néerlandais Niels Van Roij, installé à Londres, rendra donc hommage à cette 250 GT dans son prochain projet. Un modèle unique en cours de réalisation, et qui sera basé sur une 550 Maranello. Une évocation qui reprend le profil si particulier, mais aussi divers détails comme le bossage transparent du capot, les deux entrées d’air à l’avant

(6 commentaires)

  1. Et c’est là qu’on voit que la 550 Maranello n’a pas pris une ride, toujours aussi magnifique comme voiture, j’ai du mal à trouver plus réussi.

    1. ces Ferrari là sont intemporelles, car toujours magnifiquement dessinée. Je n’en dirais pas autant des dernières, où les designer Ferrari semblent être pris du syndrome du « faut surdessiné à donf pour faire croire que c’est moderne ». J’espère que ça leur passera

  2. Disons que la 355, j’adore mais je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il s’agit d’une 348 restylée. Et j’aime beaucoup l’originale avec son air de mini-Testarossa 😉
    Mais l’une ou l’autre n’a pas la finesse/pureté des lignes d’une 550 ni l’ambiance intérieure qui mêle aussi à merveille luxe et sportivité, aucune surenchère, c’est classe. Comme le moteur, pas le plus envahissant en sonorité ni le plus puissant mais un sacré couple et ça colle très bien avec l’esprit GT (j’aime déjà moins la 575M qui s’oriente vers la sportivité, ce qui ne colle pas à la voiture).

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