Fiat 500 Collezione Edition

Proposée dans les deux variantes, 3 portes et cabriolet, la 500 Collezione Edition reçoit des teintes bicolores automnales comme cette livrée Bordeaux Opéra et Tech House Grey baptisée « Brunello » sur les photos. Il est aussi possible de choisir parmi des teintes uniques comme le gris Tech House Grey, le noir Crossover Black et le Cortina Grey. La Fiat 500 Collezione reçoit également un liseré cuivré qui rappelle les jantes en alliage 16 pouces.

Pour cette édition automnale, l’habitacle de la 500 Collezione troque ses couleurs vives pour une ambiance sombre. Les sièges reçoivent une sellerie à rayures noires et bordeaux avec partie supérieure en vinyle noir et logo 500 brodé de couleur bordeaux. La planche de bord a droit un liseré cuivré sur toute sa longueur.

Côté équipements, cette 500 Collezione embarque un système de navigation et d’infodivertissement avec écran tactile 7 pouces et comptabilité Apple CarPlay/Android Auto.

L’offre moteur ne change pas avec au menu le choix entre le moteur 1,2 litre de 69 ch, associé à une boîte de vitesses manuelle ou automatique, et le moteur TwinAir 0,9 litre de 85 ch.

(9 commentaires)

    1. Fiat n’a plus que ça. La 500 va devenir une marque à elle seule comme Mini.
      Sauf que Mini est adossé à BMW et Fiat à Chrysler.
      Objectivement le produit reste sympa – mais devient techniquement bien à la traine. Il n’y a que le vieux moteur 1,2l qui vaille la peine, les bicylindres sont fragiles, bruyants et gloutons, et vont disparaître avec les nouvelles normes WLTP.
      bref, ça marche du tonnerre mais jusqu’à quand ?

      1. incroyable succès de cette voiture, qui séduit tant des personnes modestes que très aisées. Sans elle que serait devenu fiat?

  1. L’intérieur est aussi morne que l’extérieur est soigné.

    Par contre, avec ce design, et peintes en doré, j’ai l’impression de voir des jantes de Grand Cherokee Limited dans les années 90 🙂

    1. C’est pas faux. On est loin de la magnifique 500 Riva exposée au Mondial 2016 avec son intérieur façon … Riva.

  2. le 1,2 est issu du fire non? Comment font il pour le maintenir malgré les normes? Jamais compris pourquoi le bicylindre qui était une bonne idée au depart n’a jamais réussi à accomplir sa tache. Si quelqu’un peut expliquer tout ça d’avance merci.

    1. les vieux moteurs essence passent la norme euro 6 sans grosse modification, ce sont des moteurs que l’on sait très bien dépolluer.
      Le bicylindre est le downsizing poussé à l’extrême: 2 cylindres, une petite cylindrée et un turbo. A bas régime, à faible appel de puissance on utilise le moteur avec un rendement sans doute assez bon, typiquement pendant le test de la norme NEDC qui consiste à accélérer comme un papy de 80 ans. Lorsqu’on a besoin de puissance, on appuie sur l’accelerateur, le turbo se met à souffler, donc la consommation s’envole : le turbo gave le moteur comme s’il s’agissait d’un gros moteur atmosphérique. Ce moteur est tellement petit que le turbo soit souffler souvent en conduite réelle, la consommation est très certainement assez élevée

    2. Il est très vibrant, assez bruyant et avec un creux à bas régime (effet turbo…) ce qui est assez ennuyeux pour une citadine…
      Du coup l’antédiluvien 1.2 Fire retrouve des couleurs en agrément comparatif.

      Comme l’a écrit amiral_sub il est beaucoup plus aisé de dépolluer un « vieux » atmosphérique qu’un moteur très downsizé et turbalisé.

      C’est une des vertus de WLTP c’est que ça pousse des moteurs plus polluants en conditions réelles que ne l’aurait laissé imaginer leur ex-homologation sur banc (NEDC et antérieures)…

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