Dans le cadre de ce nouveau service, baptisé « We Share » (nous partageons en anglais), 1.500 e-Golf seront installées sur la voie publique au deuxième trimestre 2019 dans la capitale allemande. 500 modèles VW électriques e-up! viendront étoffer l’offre par la suite.
Volkswagen s’est fixé pour objectif de déployer le service dans d’autres grandes villes de plus de un million d’habitants en Europe et Amérique du Nord à partir de 2020, sans toutefois citer de noms précis.
A l’heure actuelle, VW ne souhaite pas communiquer sur le prix de son service de location de voitures. Peu d’informations également en ce qui concerne la gestion de flotte. Le constructeur précisant juste que différentes solutions seront trouvées pour recharger les véhicules électriques.
A terme, Volkswagen pourrait également proposer en « free floating » sa trottinette électrique Cityskater et son scooter électrique Streemate, deux produits encore au stade de conception.
En terme de positionnement, We Share se veut être un complément de la marque MOIA lancée en 2016 – dédiée aux nouvelles mobilités – et souhaite se concentrer sur le déploiement d’une offre de VTC. A plus ou moins long terme, Volkswagen veut que ces deux services soient proposés sur une plate-forme unique.
Concurrence de Daimler et BMW à Berlin
Le groupe allemand table sur une croissance minimum annuelle de 15% de la demande européenne de véhicules en libre service. Mais il n’est pas tout seul à vouloir profiter de ce nouveau « gâteau ». VW devra ainsi affronter à Berlin la concurrence de ses rivaux allemands Daimler et BMW. En mars dernier, les deux constructeurs ont annoncé la fusion de leurs systèmes d’autopartage Car2Go et DriveNow. Constituant ainsi un parc global de 20.000 véhicules opérant dans 31 villes et mis au service de 4 millions de clients.
VW veut s’axer plus largement sur les services de mobilités
Souhaitant se lancer plus largement dans le domaine des services de mobilité, Volkswagen a annoncé récemment un plan d’investissement de 3,5 milliards d’euros d’ici à 2025 destiné à son « offensive numérique ». Une stratégie qui inclut le développement de logiciels permettant d’aboutir à terme à une flotte de véhicules entièrement connectés.
Mais il devra là aussi faire face à la concurrence de BMW et Daimler. Au dela des services de transports stricto sensu, ces derniers se sont fixés comme objectifs de développer des plates-formes informatiques permettant de commander des taxis, localiser et payer en ligne des places de parking ou des stations de chargement de voitures électriques.
Sources : AFP, VW
Crédit Photo : Volkswagen
oseront ils venir rapidement à Paris….avec son antécédent historique Autolib (et la dégradation de ses Bluecar)
Je viens de trouver une autre utilisation aux véhicules en autopartage en free floating : consigne.
Parce que si les municipalités veulent vraiment réduire la place de la voiture dans leur ville, il faut qu’elles trouvent des solutions pour que les gens voyagent autrement.
Et quand on voyage en train, les bagages représentent une problématique.
Il m’arrive souvent de saucissonner le voyage en augmentant le temps de correspondance afin par exemple d’avoir au moins deux heures pour visiter la ville et m’en imprégner un peu et me donner l’envie, ou pas, de revenir y passer un week-end. Mais si il n’y a pas de consignes et que j’ai des bagages assez lourds (par exemple pour des vacances de plus d’une semaine), la visite est difficile.
Mais heureusement comme il y a de plus en plus de voiture en autopartage, j’ai de plus en plus de consignes à disposition. Et même si les véhicules sont thermiques cela ne me dérange pas puisque pendant la location ils restent à leur place et donc n’émettent aucune pollution et aucun GES.
SYMpa d’auto-partager sur une GOLF….!
Ca donne envie….
vu le retard technologique de l’e-golf, on voit bien que le choix a été fait par protectionnisme économique !
Shooby ! Encore un troll anti-VW complètement ridicule ! Si VW était aussi nul que tu le souhaite personne n’achèterait. Mais VW est un magnifique constructeur, le plus fabuleux du monde automobile. D’où la jalousie peut-être ?