La voiture de police autonome pourrait alors décider de donner une contravention ou poursuivre le véhicule. Dans ce deuxième cas, elle pourrait communiquer avec ledit véhicule pour savoir s’il est en mode conduite autonome ou pas.
En cas de conducteur au volant, la voiture de police autonome pourrait alors demander au véhicule de lui transmettre une copie du permis de conduire pour vérifier l’identité du conducteur. Un algorithme déciderait alors d’émettre un avertissement ou une contravention.
Le brevet décrit également une méthode par laquelle la voiture de police autonome pourrait prendre le contrôle du véhicule à l’aide d’une connexion sans fil.
Bien que les dépôts de brevets ne se réalisent pas toujours, le simple fait que cette idée soit en cours de développement nous amène à poser la question qui s’impose. À quand un Robocop au volant de cette voiture de police autonome ?
Source : Bureau américain des brevets et des marques via Autoblog
Source photo : Bureau américain des brevets et des marques