La saison 2018 débutera comme cette année le dernier weekend de mars, en Australie, pour se conclure fin novembre à Abu Dhabi. Mais il y a plusieurs changements. Le GP d’Azerbaïdjan, qui se déroule ce weekend, est avancé à fin avril, à la place du GP de Russie qui lui est décalé à fin septembre à la place de la Malaisie. Cette dernière disparaît (provisoirement ?) du calendrier.
A la place du GP de Baku, on trouve le GP de France le 24 juin. Les prochaines 24 heures du Mans ont été annoncées hier les 16 et 17 juin 2018. On aura donc deux weekends consécutifs en France avec un événement international du sport automobile. De quoi faire rester un peu plus longtemps les touristes ? A voir.
L’Autriche et l’Angleterre sont avancés d’une semaine. En conséquence, avec la France, cela fera 3 GP en 3 semaines. Mais, ils sont en Europe, cela ne devrait pas trop fatiguer les équipes. L’Allemagne trouve une place en plein mois de juillet, suivi par la Hongrie avant la pause estivale imposée aux écuries. On reprend toujours par la Belgique fin août avant une fin de saison similaire à celle que nous allons vivre cette année (à part la Russie comme dit ci-avant).
Une saison encore longue pour les écuries qui ont toutes ou presque signifié que c’était sans doute le calendrier maximum acceptable pour que les mécanos et tous les membres des équipes ne finissent pas sur les rotules en fin d’année. Avec le retour de la France et de l’Allemagne, les GP européens retrouvent à peu près l’équilibre à 9 (ou 10 si on compte Baku) GP sur 21.
Source et illustration : F1