Si le géant japonais n’est sans doute pas en retard dans le domaine, c’est avec prudence que la marque s’avance dans ce que certains annoncent déjà comme la future révolution automobile et où tous continuent de s’engouffrer depuis des mois.
Gill Pratt s’est largement confié sur la voiture autonome dont celle de niveau ultime, correspondant au niveau 5 de la classification SAE, qui voit la machine au sens large totalement supplanter l’être humain.
Pour le professeur, aucun acteur ne peut aujourd’hui prétendre proposer à court terme ce niveau 5 et ne le pourra pas avant de nombreuses années et des expérimentations menées partout dans le monde (on ne parle même pas des différentes législations à l’échelon planétaire pour tout encadrer).
C’est seulement suite au retour de millions de données collectés que les technologies pourront être perfectionnées réduisant à néant tout dysfonctionnement.
Gill Pratt explique aussi que personne ne pourrait comprendre une erreur de la machine quand celle-ci devait justement réduire à zéro tout risque et facteur humain.
Plus loin il tempère aussi certaines annonces ou effets d’annonces (jamais aucune allusion nominative). Quand on avance ici ou là déjà atteindre un niveau plus élevé de le classification SAE, les constructeurs seraient plus largement en train de finaliser et développer des véhicules de niveau 2 (aides ponctuelles).
Loin du Graal donc et d’une voiture autonome… Totalement autonome.
En plus simplement résumé quand on lit les propos tenus par le directeur de l’institut de recherche de Toyota, on comprend vite que la pure auto autonome sans conducteur ce n’est pas pour demain la veille qu’on s’appelle Mr Toyota ou autre… L’avenir le dira.
Source : Toyota.
Crédit illustration : Toyota.