Les mauvaises langues diront que le but de la vente était surtout de meubler le hall 1 de la Porte de Versailles.
Pour une première, Coys a joué la sécurité : principalement des voitures de sport des années 50-60 et des « very youngtimers » des années 2000. Que des modèles connus du grand public. Dans le lot, il y a une rare Porsche 356 « pré-A », la onzième Dino 246 GT, la toute première Tesla Roadster vendue en Europe et une Cadillac V8 355 Fleetwood ayant appartenu à Liberace. La Citroën DS 23 M et la Peugeot 203 cabriolet sont les seules Françaises du lot.
2 000 personnes ont participé à la vente ; certains sur une plateforme internet dédiée. La Cad’ est partie pour 98 000€, alors que Coys en espérait 90 000€. Par contre, la Tesla est adjugée pour 50 740€, là où la maison tablait sur au moins 55 000€. En bref, un bilan mitigé, même si Coys se félicite du résultat.
Crédit photos : Joest Jonathan Ouaknine/Le Blog Auto