Genève 2016 : nanoFlowcell Quantino & Quant FE

Déjà présent l’année dernière, nanoFlowcell revient donc à Genève pour cette édition 2016. Deux véhicules seront présents, afin de montrer la technologie vantée par la compagnie installée au Lichtenstein. Une technologie qui voudrait révolutionner la conception du véhicule électrique, via l’utilisation de piles à flux.

En résumé, la batterie est composée de deux réservoirs remplis de liquides intégrant des particules chargées électriquement. Les deux réservoirs sont séparés par une membrane, et la réaction des particules à travers la membrane créée un courant électrique.

Cette technologie revient donc à bord de la Quantino et de la Quant FE (E pour Evolution). La première est censée être proche d’une production, la seconde a été remaniée en vue d’une homologation.

Production ? Oui, nanoFlowcell songerait à produire en petite série sa Quantino, alors que le discours l’année dernière était surtout axé sur la vente de la technologie, pas de voitures.

Concrètement cette Quantino ne semble pas avoir évolué sur le plan du style, et revoit légèrement à la baisse sa puissance, annoncée à 109 ch (136 l’année dernière) au cumul des 4 moteurs électriques, fonctionnant sur un circuit en 48V seulement. Pas de détail pour le moment quant à la pile elle même. Rappelons que l’année dernière, la Quantino était censée intégrer une pile constituée de 2 réservoirs de 175 litres chacun, pour une autonomie revendiquée de 1000 km.

Les annonces de nanoFlowcell posent de nombreuses questions : densité énergétique du fameux liquide miracle (qui n’est pas de l’eau salée contrairement à ce que l’on lit très (trop) souvent), puissance de la pile, taille des réservoirs, autonomie revendiquée : 2 x 250 litres et 800 km pour la Quant F l’année dernière

Source : nanoFlowcell

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