Au salon de Détroit en janvier dernier, Lexus dévoilait la GS F, version ultime du modèle lancé en 2011. Une version qui ne se contentait pas d’un bon gros V8 de 473 ch, mais préfigurait ses évolutions esthétiques, que l’on retrouve donc désormais appliquées au reste de la gamme.
Nouvel avant, nouvel arrière, la Lexus GS se met en accord avec les IS, NX ou RX avec des optiques plus effilées (100% LED à l’avant) avec feux de jour séparés, et a contrario une calandre qui semble de plus en plus imposante… De quoi donner un peu plus de piment dans un segment en général très conservateur.
Les évolutions à bord concernent essentiellement les couleurs et matériaux. La GS adopte aussi quelques évolutions en matières d’aides à la conduite, avec un régulateur de vitesse adaptatif opérationnel sur toute la plage de vitesse (0 à 250 km/h), un assistant actif au maintien dans la voie et un système anti-collision avec détection de piétons.
La grosse nouveauté technique prend place sous le capot, puisque la gamme accueille une nouvelle GS200t. Le passage au 4 cylindres n’est pas une nouveauté en soit pour la GS, puisqu’une GS250 était déjà proposée en Chine. Mais il s’agit ici du moteur 2.0l turbo à injection directe déjà proposé sur les NX200t et IS200t, et son arrivée à bord de la GS confirme que Lexus est à présent bien engagé sur la voie du « downsizing ». Cette GS200t sera en outre largement plus diffusée que la GS250.
241 ch et boîte auto 8 rapports pour cette GS200t uniquement proposée en propulsion. La GS350 conserve son V6 3.5 atmosphérique, qui passe pour l’occasion de 306 à 311 ch, en version 2 ou 4 roues motrices. Le haut de gamme reste la version hybride GS450h associant V6 et moteur électrique pour un total de 340 ch. La version plus abordable GS300h ne semble plus être au programme.
Source : Lexus