Le développement de dérivés dotés d’un look tout-terrain pour des modèles existant connait des fortunes diverses, et donc un intérêt varié selon les marques. Quelques-uns s’en sont fait les spécialistes, comme Volkswagen, Audi, Subaru ou Volvo, d’autres ont simplement pris la température sans réellement se jeter à l’eau : Renault, Citroën, Opel…
Chez Mercedes, on songe à de tels dérivés sur la base des breaks C et E. Mais pour le moment rien ne semble fixé. C’est que ces véhicules fonctionnent bien sur certains marchés, et pas du tout sur d’autres. Matthias Luhrs, vice-président en charge des ventes chez Mercedes évoque comme point bloquant majeur les Etats-Unis.
Un pays devenu allergique au break, mais où curieusement Subaru ou Volvo mettent particulièrement l’accent sur ces déclinaisons : Outback et Cross Country… A contrario, l’A6 Allroad n’a par exemple trouvé qu’un peu plus de 1 000 clients depuis le début de l’année aux Etats-Unis. Et il ne faut pas compter non plus sur la Chine, puisque le break n’y est pas non plus particulièrement apprécié…
Source : motoring.com.au