Classé treizième du Grand Prix de Montréal, le pilote australien a logiquement fait part de sa frustration quant aux performances limitées de sa monoplace. En retour, Christian Horner, le directeur de l’écurie, a tenu à tempérer ses propos. Pour lui, le bloc Renault est responsable ( encore et toujours ) à 85% des lacunes de Red Bull cette saison : « Je dirais que notre déficit vient à 80-85% du moteur et que 15-20% sont à cause du châssis. Il y a quelques caractéristiques du châssis sur lesquelles nous travaillons et que nous allons améliorer mais cela tend à devenir un cercle vicieux ».
Il a également précisé que l’écart avec les équipes motorisées par Mercedes avait été particulièrement important au Canada du fait des spécificités du tracé : « Vous avez une Force India et une Lotus qui n’avaient jamais été devant nous depuis Melbourne et c’est juste une course différente ».
Source : ESPN
Crédit illustration : Red Bull Racing