D’emblée, on peut dire que l’attelage Geely-Volvo a bien fonctionné, dans la même dynamique que Tata-JLR : les nouveaux propriétaires ont laissé les coudées franches et donné les moyens de travailler aux rachetés, et le résultat est réussi. Le style est renouvelé et très abouti, tout en gardant l’identité Volvo, en plus urbain et sophistiqué. Les motorisations, détaillées dans le post de présentation, sont nouvelles et le haut de gamme est constitué par un système hybride rechargeable basé sur le moteur T6 2l essence à double suralimentation de 320 chevaux qui entraîne les roues avant et un moteur électrique sur le train arrière pour un total de 400 chevaux.
C’est l’intérieur très soigné qui distingue le plus la Volvo de la concurrence et en particulier un tableau de bord sobre et technologique qui allie une instrumentation digitale avec un écran tactile de 9 pouces de diagonale en format portrait incluant les commandes et le système de navigation ainsi que la connectivité CarPlay et Android Auto. L’édition limitée de lancement, sur la base du modèle propulsé par le 2l essence T6, aura 1927 exemplaires, tous en Onyx Black, avec les roues de 21 pouces et un intérieur en cuir fauve. C’est cette voiture qu’expose Volvo au Mondial de l’Automobile.
Arrivant à Paris, Volvo ne pouvait manquer de mettre à contribution le plus parisien des Suédois, à moins que ce ne soit l’inverse, Zlatan Ibrahimovic, qui est sous contrat pour la marque, pour introduire le XC90. De quoi faire crépiter les flashs, c’est toujours bon pour la communication.
Crédit photos : JJO/le blog auto