L’actuel Président du Conseil de Surveillance, Thierry Peugeot doit donc abandonner son poste. Il paie sans doute là son hostilité affichée au rapprochement avec le constructeur chinois Dongfeng. C’est une source proche du dossier (selon la formule consacrée) qui a confié à l’AFP que la candidature retenue « à l’unanimité » était celle du favoris Louis Gallois.
Ancien patron de la SNCF et d’EADS où il avait été apprécié aussi par les partenaires sociaux, Louis Gallois avait pour seul opposant Gérard Hauser, le « candidat de la famille Peugeot ». C’est donc un nouveau recul d’influence pour les Peugeot qui voient leur groupe un peu plus leur échapper.
Source : AFP