Avec l’arrivée de l’Octavia qui profite de prestations en nette hausse, la Superb pourrai se retrouver mise à mal. d’autant que son style semblait prendre un coup de vieux. Škoda revoit donc sa copie, à commencer par le style de la partie avant, qui vient harmoniser la gamme tchèque. Calandre identitaire bien présente, phares plus généreux et plus expressifs, la totalité des pièces de carrosserie jusqu’au montant A ont été revues. Changement plus discret à l’arrière où seul le dessin des feux est modernisé, avec trois guides de lumière pour la signature lumineuse. Le style intérieur ne bouge pas d’un iota, hormis le volant, mais profite de nouvelles teintes et selleries.
Pas de grand changement au rayon mécanique, puisque l’on retrouve en essence le 1.4 TSI de 92 kW / 125 ch qui devrait être secondé du 1.8 TSI et du V6. En diesel, le 2.0 TDi de 103 kW / 140 ch et 125 kW/ 170 ch sera toujours au programme, et en entrée de gamme la Superb Greenline adoptera le 1.6 TDI de 105 ch. Une bloc qui lui permet d’annoncer des émissions de CO2 en légère baisse à 109 g/km.
Petite surprise à la découverte du chapitre des aides à la conduite. Sur lequel Volkswagen insiste portant particulièrement depuis quelques mois, mais qui fait ici figure de parent pauvre, surtout comparé à l’Octavia. La Superb se contente donc d’améliorer son système d’aide au stationnement ParkAssist, et de proposer la surveillance de la vigilance du conducteur ou encore l’assistant de passage automatique codes / phares. Point de régulateur de vitesse adaptatif, de surveillance d’angle mort, d’alerte de franchissement de file ou de reconnaissance des panneaux de signalisation pourtant disponibles sur l’Octavia.
Source : Škoda