Alors que la quatrième génération du SUV compact japonais fera ses grands débuts européens dans quelques jours à Genève, le constructeur livre de nouveaux détails. Ces informations complémentaires concernent avant tout le niveau d’émissions de CO2 des différentes versions.
Sur le segment toujours plus encombré du SUV compact, Toyota comptera sur la quatrième génération de son RAV4 pour perpétuer la réussite commerciale des trois précédentes générations dont le total des modèles écoulés aura atteint 4,5 millions d’exemplaires dont 1,2 million sur le vieux continent.
Plus longue (4.570 mm, soit +205 mm), plus large (1.845 mm, +30 mm) mais plus basse (1.660 mm, -25 mm) que le modèle antérieur, cette nouvelle génération se distingue par son orientation stylistique revue et son habitacle modifié. Concernant les chiffres inédits détaillés par la marque, ils concernent les motorisations disponibles au catalogue : essence 2,0 l Valvematic de 151 ch, diesel 2,0 l D-4D de 124 ch et 2,2 l D-CAT de 150 ch. Toyota indique que sur l’ensemble de la gamme, le niveau de CO2 a baissé de 11 % en moyenne.
Dans le détail, le 2.0 l essence de 151 ch 4×4 (BVM6) s’affiche à 167 g/km de CO2 contre 166 g/km de CO2 pour ce même moteur en boîte Multidrive S soit deux malus à hauteur de 1 500 €. Le 2,2 l D-CAT de 150 ch 4×4 (BVM6) affiche 147 g/km de CO2 contre 173 g/km de CO2 en BVA 6 soit des malus respectifs de 400 € et 1 500 €.
Enfin, c’est l’offre diesel 2,0 l D-4D de 124 ch d’entrée de gamme et deux roues motrices qui affiche le niveau le plus bas à 127 g/km de CO2 soit un positionnement dans la zone neutre du bonus/malus. Prochaine étape : une présentation en Suisse en marge de son lancement commercial en Europe (le RAV4 est déjà disponible à la commande).
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Source : Toyota.
Crédit illustration : Toyota.
2.0 essence 151 chevaux 4×4 (BVM6)