La réalisation la plus spectaculaire est signée Mugen qui a commis une version de compétition très modifiée qui rappelle dans l’esprit certains petits monstres réalisés par des officines italiennes sur la base de la 500 des années 60 ou les mêmes sur base Mini de l’autre côté de la Manche. Pour l’instant il ne s’agit que d’un sympathique exercice de style mais on se plaît à imaginer le potentiel de ce petit bolide avec par exemple un moteur emprunté au département qui développe les Honda de MotoGP…
Honda Access pour sa part a travaillé sur une version haut de gamme de l’auto, pour en exploiter le côté chic. Outre les subtils éléments extérieurs, l’intérieur est équipé de sièges Recaro qu’on n’a pas l’habitude de voir sur les kei cars.
Autre version sur le stand Honda, cette N-One très glitter, un message pas très subtil pour tenter de séduire les conductrices. Cela peut sembler too much pour les sensibilités des Européennes qui ont passé l’âge du rose bonbon et des brillants, mais le clin d’oeil peut passer auprès des jeunes Japonaises qui conservent un goût de l’accessoire résolument girly.
Il revient à Endless d’avoir fait la chose évidente, réunir la nouvelle avec son aînée. Sans aller jusqu’à la différence de taille entre la Mini et la Mini (on se comprend), la N-One, qui paraît pourtant bien petite vue toute seule, toise sans difficulté l’ancêtre. Décidement, on ne sais plus faire de petites autos de nos jours.
Pour terminer, voilà ce que Blitz fait de la N-One. Le préparateur a coutume de ne pas en rester aux aspects cosmétiques, même si il était encore un peu tôt pour vraiment faire du travail de fond. On en reparlera l’année prochaine.
Crédit photos : PLR/le blog auto
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