En cas d’augmentation de capital, la famille Peugeot possède les droits préférentiels de souscription. Si le scenario du Wall Street Journal se réalise, General Motors apportera 300 millions d’euros contre 7% du capital du groupe français (soit le prix du marché). Reste donc à trouver 700 autres millions d’euros.
Si l’opération réussie, la famille Peugeot ne détiendrait plus 30,3% des parts du groupe mais seulement 23,7%. Une différence qui n’effraie pas Robert Peugeot, l’un des trois cousins de la huitième génération : « La participation familiale dans PSA a été variable selon les époques. Elle est même descendue à 22 %. L’indépendance, c’est rester l’actionnaire de référence, quel que soit le niveau de pourcentage. »
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Sources : Wall Street Journal / L’Express