Essai BMW Série 1 :vie à bord (2/3)

L’habitacle de la Série 1 fait donc encore un pas en avant en matière de luxe et de présentation, ce qui se traduit jusque dans les moindres détails, jusqu’au 8 touches de présélection qui, non seulement ne sont pas dédiées uniquement à l’autoradio mais permettent de créer un raccourci vers n’importe quelle fonction, mais sont en plus tactiles, faisant apparaître ce à quoi elles renvoient par un simple effleurement. Un «gadget» qui offre un petit plus en termes de lisibilité et d’ergonomie.

Plus grande, la Série 1 offre également une habitabilité revue à la hausse, ce qui était l’un des principaux points noirs de la précédente version. Désormais, quatre adultes de taille moyenne peuvent désormais prendre place à bord en envisageant sereinement les longs trajets. Le coffre aussi affiche une contenance supérieure  par rapport à la devancière, pour désormais en offrir de 360 à 1.200 suivant la position de la banquette.

Enfin, critiquons tout de même un peu la qualité des matériaux retenus, de bonne facture pour la partie supérieure de la planche de bord et des portières, mais vraiment légère par endroits pour peu que l’on prenne le temps de se pencher un peu plus bas. Rien de vraiment gênant pour la majorité des acheteurs mais lorsqu’on achète une «béhème», l’on est en droit de se montrer pointilleux.

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