« Dans un premier temps, nous utiliserons la même technologie lithium-manganèse que Nissan, dont nous avons tiré au maximum la performance et les coûts, tout en portant la sécurité au plus haut niveau possible », précisait Thierry Koskas, directeur du programme véhicule électrique de Renault, dans les colonnes des Echos.
Et pour préparer l’avenir, Renault a signé avec le Commissariat à l’Energie Atomique et aux Energies Alternatives de Grenoble pour trouver une « nouvelle option technologique » d’ici cinq ans.
Parmi les pistes étudiées à Grenoble, celle d’une batterie zinc-air qui pourrait être beaucoup plus performante que le lithium-ion.
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