« Cette année on ne sait pas trop à quoi s’attendre, car les organisateurs n’ont dévoilés que quelques détails sur le plan de course », témoigne l’ancien Champion du Monde des Rallyes. « Avec l’expérience que j’ai acquise tout au long de ma carrière sur sable, j’ai bien retenu une leçon : il faut prendre les étapes les unes après les autres en étant respectueux de la route, et en étant modeste. »
Si le talent, l’abnégation et la fiabilité sont essentiels pour gagner un Dakar, un élément extérieur peut également avoir son importance : la chance. « Il en faut un peu, c’est sûr. Nasser Al-Attiyah et Stéphane Peterhansel, qui sont à mon avis les meilleurs pilotes sur sable, en ont manqué cruellement l’année dernière et ça leur a joué un mauvais tour. Par exemple, il suffit que vous rouliez un tout petit peu trop à gauche de la route et ça peut vous sourire, mais également vous desservir ! »
A suivre demain avec les premiers kilomètres chronométrés.
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