Habillé de vert pastel, la Basket rappelle l’époque de la Nissan Figaro. Celle ou les petites autos, un brin frivoles, fleurissaient dans l’archipel. La Daihatsu n’a rien perdu de cette spontanéité, pour mettre en avant sa légèreté et sa simplicité, des gages d’économies et de faibles émissions.
Des dessous archiconnus, ceux de la Tanto et de la Mira, en version 4×4, servent au propos. Si bien que l’on se plait à imaginer une suite commerciale à la Basket, disputant la meilleure place, dans les lieux de villégiatiure à la mode, aux Moke et Méhari. Aux côtés d’une Copen ou d’une Trevis ou de la toute fraîche ES, il est vrai qu’elle ne dépareillerait pas dans une concession Daihatsu.
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