Car en effet, les commandes de la climatisation sont regroupées au centre du tableau de bord sous la forme de quatre cercles chromés rappelant à plusieurs égards les multiples afficheurs analogiques que l’on retrouvait sur les sportives d’antan. Les temps ont changé, et ces informations sont désormais reprises sur l’afficheur central ou sur les cadrans situés derrière le volant.
Comme toute BMW qui se respecte, cette Z4 «offre» également un équipement pléthorique en proposant de série la climatisation électronique, le cruise control avec fonction de freinage, le lave-phares, le volant multifonctions, etc…
Mais comme toute BMW qui se respecte également, cette Z4 propose une liste d’options longue comme un jour sans pain, proposant une foule d’équipement dont on peut facilement se passer et qui, pourtant, s’avèreront bien indispensables à beaucoup d’acheteurs. A titre d’exemple, notre modèle d’essai était doté de plus de 11.000 euros d’options ! On trouvait entre autres les jantes alu 18 pouces, la suspension M adaptative, le brise-vent, les sièges chauffants, les capteurs de recul avant et arrière (indispensables vu la longueur et le forme du capot), les feux avant adaptatifs, le pack éclairage, le système de navigation Profesionnal, l’allumage automatique des phares et des essuies glaces, le Design Pure White (comprenant les inserts en bois précieux dont je vous parlais), la boîte de vitesses automatique Sport et le volant avec palettes de commandes ou encore… le ciel de toit en Anthrazit ! Total des options : 11.586 euros TVAC.
Alors bien sur, le Z4 sait recevoir. Les sièges sont très bien dessinés et offrent un maintien parfait, tant au niveau de l’assise que du bas du dos ou des épaules. Où que le regard se pose, les matériaux sont bien assemblés, d’une présentation irréprochable et respirent la qualité (mis à part le plastic douteux autour du lecteur CD). Un vrai régal, tant pour le conducteur que pour son passager.
Mais le Z4 n’est pas exempt de reproches pour autant puisqu’il pêche par son manque d’espaces de rangement exploitables (ce n’est pas la finalité première d’un roadster me direz-vous) ou par sa garde au toit limitée pour les grands gabarits, comme trop souvent dans ce genre de «petits» roadsters, qui plus est avec un toit «en dur», plus épais.
Ne reste qu’à voir comment le Z4 se débrouille une fois sur la route.
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