« Le choix de la logique plutôt que celui du cœur: diesel power! » Les diesel représentent l’essentiel des ventes attendues.
En France, il a fallu attendre le CLK (C209) pour voir un coupé diesel chez Mercedes. Ce fut d’emblée un succès. Il faut souligner qu’en 1975, les Américains pouvaient se procurer une 300 TD Coupé (C123):
Mercedes poursuit sa politique du « les 6 cylindres d’abord, puis les 4 cylindres. » La E350 CDI BlueEfficiency et son V6 3,0l 231ch ouvrent donc le bal, en attendant la E250 CDI (4 cylindres 2,2l turbo-diesel et 204ch) à l’automne. Contrairement à la berline, il n’y aura pas de E220 CDI Coupé.
Tous les diesel Mercedes sont équipés de filtres à particules.
Une seule finition est disponible sur la Classe E Coupé. L’Executive ajoute la sellerie cuir, les rétroviseurs rabattables et la radio/CD avec GPS. Du reste, vu qu’elle dispose du pack AMG, son équipement est similaire à la E500 Coupé testée auparavant (à l’exception du Distronic Plus; heureusement, j’avais fait une check-list avant de démarrer…)
Mercedes souligne qu’avec 540Nm, la E350 CDI possède plus de couple qu’une E500 . En plus, il est disponible plus tôt. Là encore, on atteint facilement des vitesses « très inavouables », tout en étant comme sur des rails. Néanmoins, en terme de plaisir de conduite, il manque le ronronnement du V8.
Reste qu’à 52 500€, 5,9l aux 100km en extra-urbain et 179g de CO2 (contre 70 900€, 7,8l et 254g), la E350 CDI est plus douce pour votre portefeuille.
Lors du discours, il a été dit que la E350 CDI Coupé était particulièrement bien adaptée aux besoins des flottes. Il n’a pas été précisé quelle(s) entreprise(s) dispose(nt) de E350 CDI Coupé de fonction, ni si elle(s) recrute(nt.)
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