Elle était très attendue, la voici. La Toyota Supra revient sur le devant de la scène et pour le Japon, cela ne pouvait pas se faire sans sa participation à la compétition. Elle revient là où elle avait laissé les choses en 2006, dans la catégorie reine du Super GT.
Avant sa révélation lundi à Detroit, la Supra s'est offerte une avant-première en ouverture du Tokyo Auto Salon hier, sous sa robe de compétition. Et contrairement à la "façon GTE" de Genève, la Supra Super GT Concept n'en restera pas un, puisque Toyota a annoncé par la même occasion que la Supra vue ici remplacera la Lexus LC500 en GT500 à partir de 2020.
La Supra est assez petite comparée à la Lexus et l'on pouvait craindre qu'elle aurait du mal à remplir le gabarit standard des voitures de la Classe 1. Ce n'est pas le cas. La silhouette imaginée par Toyota est assez bien proportionnée et respecte celle de la voiture de série, présentée sous sa forme camouflée désormais bien connue aux côtés de la voiture de course.
Pour inscrire la nouvelle Supra dans la lignée historique, Toyota a sorti de sa collection une série de Supra de course, de la Groupe A de 1990 à la voiture hybride qui a remporté les 24 heures de Tokachi en 2007, et TRD a fait de même avec un mulet de développement sans marquage qui permet d'apprécier pleinement les lignes de la version GT500 de la Supra JZA80.
Avec le retour de la Supra en GT500 en 2020 se terminera la présence de Lexus dans la catégorie reine, après 14 saisons et trois modèles : la SC430, la RC F et la LC. Ce ne sera toutefois pas la fin de la présence de Lexus en compétition, puisque la marque est toujours présente en GT3, et au Japon en GT300 avec la RC F. La LC, elle, devrait continuer de concourir en VLN comme c'est le cas depuis la saison 2018.
Avec le retour de la Supra en GT500, on retrouvera le classique trio qui a fait les belles heures du JGTC : Supra, GT-R et NSX. Les fans japonais s'en régalent d'avance.
Crédit images : PLR/le blog auto
Elle était très attendue, la voici. La Toyota Supra revient sur le devant de la scène et pour le Japon, cela ne pouvait pas se faire sans sa participation à la compétition. Elle revient là où elle avait laissé les choses en 2006, dans la catégorie reine du Super GT.
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