Les bons débuts du Lamborghini Urus
par La rédaction

Les bons débuts du Lamborghini Urus

La commercialisation du Lamborghini Urus est ce qu’Hannibal Smith appellerait un plan qui se déroule sans accroc. Le premier SUV de Sant’Agata bat toutes les espérances de la marque selon son PDG Stefano Domenicali.

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Outre l’objectif de multiplier les ventes, l’Urus avait pour mission d’attirer une nouvelle clientèle pour être moins dépendant des jeunes émiratis fortunés. Le contrat serait rempli puisque le PDG a annoncé dans un interview à CNBC que 70 % des clients du SUV étaient nouveaux, parmi lesquels de nombreuses femmes.

Il faut dire que le constructeur italien s’était préparé. Les concessions ont été agrandies et le personnel a été formé à vendre à la gent féminine qui ne représentait avant l’Urus que 5 % des clients de la marque.

Mieux encore ces nouveaux clients n’hésitent pas à mettre la main au portefeuille pour s’offrir les options. Le ticket d’entrée de gamme de 200 000 dollars passe ainsi à un prix moyen de 240 000 dollars. Enfin, les spécificités du Lamborghini Urus, notamment sa garde au sol élevée, ont permis au constructeur de rencontrer un beau succès en Russie et en Inde où le réseau routier n’est pas aussi lisse qu’au Moyen-Orient.

Lamborghini prévoit de vendre 5 000 voitures cette année dont 20 % d’Urus. À terme, le constructeur vise un rythme de croisière de 3 500 Lamborghini Urus par an.

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La commercialisation du Lamborghini Urus est ce qu’Hannibal Smith appellerait un plan qui se déroule sans accroc. Le premier SUV de Sant’Agata bat toutes les espérances de la marque selon son PDG Stefano Domenicali.

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