Ne passons pas la case design puisque celui-ci évolue en douceur par rapport à son prédécesseur et reprend les canons stylistiques de la berline dévoilée en octobre dernier. Allons directement au chapitre dimensions. Un centimètre plus long que la berline et un hayon suffisent au break pour offrir un volume de chargement de 570 litres, soit 40 litres de plus que la berline et devenir plus pratique grâce à l’ouverture électrique de série et à la lunette arrière qui s’ouvre indépendamment du hayon. Une fois rabattue, la banquette arrière en trois parties dégage un volume de 1 700 litres. C’est mieux que les 1 526 litres du Volvo V90, mais moins bien que les 1 820 litres du Mercedes Classe E Break et les 1 950 litres d’une Skoda Superb Combi.

Si le Série 5 Touring fait l’impasse sur le plastique renforcée par fibres de carbone (PRFC), sa plateforme combinant aluminium, aciers à haute limite élastique et magnésium lui permet de contenir son poids à 1 655 kg en entrée de gamme, soit 115 kg de plus que la berline, mais 145 kg de moins que son prédécesseur. À titre de comparaison, le Classe E 220d pèse 1 685 kg, le Skoda Combi 2.0 TDi 190 affiche 1 525 kg et le Volvo écrase tout le monde avec ses 1 731 kg.

La gamme du BMW Série 5 Touring s’articule autour de quatre motorisations pour le moment avec le 520 de 190 ch, le 530i de 252 ch, le 530d de 265 ch et le 540i de 340 ch. Tous les moteurs sont accouplés à la boîte automatique Steptronic à huit rapports, à l’exception du 520d qui se contente d’une boîte manuelle à six rapports. La transmission intégrale xDrive est offerte en série sur cette dernière, et seulement en option sur la 530d.

Source : BMW

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