C'est en pointillés prononcés que le break chez Jaguar (pas dans sa tradition historique au départ) s'inscrit à très court terme. Pragmatique Ian Callum, responsable du design pour la marque, constate les faits. Et les chiffres.
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C'est en pointillés prononcés que le break chez Jaguar (pas dans sa tradition historique au départ) s'inscrit à très court terme. Pragmatique Ian Callum, responsable du design pour la marque, constate les faits. Et les chiffres.
Le renouvellement du catalogue chez Jaguar, entre la dernière XE ou la XF (mais plus de XF Sportbrake déjà..) ne passera pas à terme par des déclinaisons break de ces berlines offrant un plus important volume de chargement. Et encore moins par des nouveautés dans le futur. Alors ceux qui attendaient encore une XE Sportbrake ou le retour de la XF Sportbrake...
C'est Ian Callum qui l'a confié dans les colonnes d'un média. La raison ? Assez simple, cette silhouette peine à se faire une place dorée sur le marché européen le plus friand de ce type de carrosseries. La demande recule même.
Et moins encore quand il s'agit d'une Jaguar break. "Le plus grand marché mondial pour le break est le marché allemand. Et les clients allemands achètent des breaks allemands", s'est ainsi exprimé le responsable du design chez Jaguar.
Cette silhouette n'étant pas prisée aux USA ou en Chine, chez Jaguar on ne va pas investir en vain ou à perte. Inversement, on va se renforcer là où, dans le monde, le client répond présent avec les SUV et le fameux futur petit frère au dernier F-Pace.
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C'est en pointillés prononcés que le break chez Jaguar (pas dans sa tradition historique au départ) s'inscrit à très court terme. Pragmatique Ian Callum, responsable du design pour la marque, constate les faits. Et les chiffres.