Malgré son âge, la Fiat 500 se positionne au sommet de la catégorie des petites voitures en Europe. Mais la relève n’est pas pour maintenant et Fiat lui offre donc une petite touche de fraicheur qui devrait l’aider à maintenir sa position.
Malgré les assauts des concurrentes, qu’elles se nomment Adam, Up, Twingo, 108, Aygo, C1, i10, ou même Panda, la 500 reste la vedette du segment des petites voitures. Elle se permet même depuis 2013 de dépasser la Panda pour être la reine incontestée… Mais une position de numéro 1 doit se défendre…
La style de la 500 n'a guère besoin d'être changé, Fiat se contente donc assez logiquement de petites retouches destinées à conserver le lien avec le reste de la famille, et en particulier le 500X. Nouveaux phares, nouveaux feux additionnels avec signature lumineuse (reprenant le dessin des "0" du logo 500), boucliers revus avec un soupçon de chrome en plus, et de nouveaux feux arrière à LED en relief avec partie centrale ton caisse.
Le design intérieur évolue lui aussi en douceur, avec une nouvelle collection de selleries plus ou moins colorées (10 configurations proposées), et une nouvelle implantation du haut de planche de bord pour accueillir l'écran multimédia 5 pouces du système Uconnect. Ce dernier proposera en France les services connectés (TomTom), et pourra ajouter selon les pays la radio numérique DAB. Il est également compatible avec la fonction MirrorLink pour l'accès à certaines applications des smartphones. L'instrumentation avec l'écran 7 pouces reste proposée, mais la version analogique reste de série, et le reste des commandes n'évolue pas.
Cette évolution est bien entendu la bonne occasion pour revoir l'offre de personnalisation avec de nouveaux films pour le toit ou les rétroviseurs (noir microcarbone, argent mat, titane mat, vert militaire et jeans), de nouvelles jantes 14, 15 ou 16 pouces, 3 packs Sport (blanc, noir, rouge), divers logos et inserts chromés, ainsi que 2 nouvelles teintes de carrosserie (Rouge Corail et Bordeaux Opera)...
TwinAir en vedette, mais diesel toujours présent
La 500 reste fidèle au moteur TwinAir, décliné en version turbo à 85 ch / 145 Nm et 105 ch / 145 Nm. Avec une homologation en cycle à 3,8 l/100 km et 90 g/km pour le premier et 4,2 l/100 km / 99 g/km pour le second. Notons que le TwinAir 95 ch peut se voir associé à la boîte robotisée Dualogic, qui abaisse l'homologation à 88 g/km de CO2. Reste à en accepter l'agrément. Par ailleurs, la version 105 ch est le seul de la gamme à disposer d'une boîte manuelle à 6 rapports.
Le 1.2 Fire constitue l'offre d'entrée de gamme avec ses 69 ch / 102 Nm. Son homologation variera de 4,5 l/100 km et 105 g/km à 4,9 l/100 km et 115 g/km. Selon que l'on choisisse ce moteur avec ou sans Stop&Start, et en configuration boîte manuelle ou Dualogic. Une version Eco de ce moteur est également annoncée à 99 g/km de CO2, et un TwinAir atmosphérique de 65 ch ainsi qu'un 1,4l de 100 ch seront également proposés sur certains marchés.
La norme euro6 a eu la peau de la plupart des petites citadines diesel. La 500 conserve son 1.3 JTD de 95 ch, homologué à 89 g/km de CO2.
Avec cette évolution, la 500 compte continuer à caracoler en tête des ventes du segment en Europe en attendant une véritable relève à l'approche de la fin de la décennie.
Source : Fiat
Malgré son âge, la Fiat 500 se positionne au sommet de la catégorie des petites voitures en Europe. Mais la relève n’est pas pour maintenant et Fiat lui offre donc une petite touche de fraicheur qui devrait l’aider à maintenir sa position.
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