PSA propose un gel des salaires dans l'accord de compétitivité
comme chez le concurrent Renault, permettre de diminuer le coût global d'un ouvrier français et, en contrepartie, de maintenir, voire accroitre la production dans l'hexagone.
comme chez le concurrent Renault, permettre de diminuer le coût global d'un ouvrier français et, en contrepartie, de maintenir, voire accroitre la production dans l'hexagone.
PSA est en pleine négociation avec ses partenaires sociaux pour un "nouveau contrat social". Cet accord de compétitivité doit, comme chez le concurrent Renault, permettre de diminuer le coût global d'un ouvrier français et, en contrepartie, de maintenir, voire accroitre la production dans l'hexagone.
Les discussions ont été entamées juste après la fin de la grève d'Aulnay-sous-bois, fin mai, et doivent se poursuivre jusqu'à septembre. PSA a dévoilé plusieurs pistes dont "un gel des salaires, une simplification et une adaptation de la durée de travail hebdomadaire" et ce en vue de poursuivre "le redressement du groupe". En l'échange de cette flexibilité hebdomadaire, PSA "devrait (...) maintenir une base industrielle forte en France".
Philippe Varin, Président du Directoire de PSA Peugeot Citroën (dont vous pouvez retrouver notre entrevue exclusive ici) chiffre cela à "environ 81 millions d'euros d'économies en année pleine avec une amélioration des coûts salariaux et environ 50 millions d'euros d'économies attendus en 2013". Les syndicats de salariés devraient rapidement faire connaitre leur position sur ces propositions.
La flexibilité des horaires permet à une usine d'adapter au plus juste la production et donc de travailler encore plus en flux tendu sans avoir recours aux heures supplémentaires et au chômage partiel. Actuellement dans les usines du constructeur sochalien, à un mois avec heures supplémentaires (premier surcoût) peut succéder un mois avec chômage partiel (deuxième surcoût) ce qui dégrade la compétitivité du site. Cette annonce fait suite à différentes autres sur les premiers résultats (positifs) de la restructuration du groupe.
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Source : PSA via agences, photo : PSA
comme chez le concurrent Renault, permettre de diminuer le coût global d'un ouvrier français et, en contrepartie, de maintenir, voire accroitre la production dans l'hexagone.
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