La situation de Lotus s'éclaircit un peu. La maison mère DRB-HICOM semble décidée à faire repartir le constructeur sinistré, d'une façon prudente et précautionneuse, en se basant sur l'existant, à l'inverse des fameux plans sur la comète de l'ère Bahar qui ont été à deux doigts de faire disparaître le constructeur.
La situation de Lotus s'éclaircit un peu. La maison mère DRB-HICOM semble décidée à faire repartir le constructeur sinistré, d'une façon prudente et précautionneuse, en se basant sur l'existant, à l'inverse des fameux plans sur la comète de l'ère Bahar qui ont été à deux doigts de faire disparaître le constructeur.
On mesure a posteriori l'étendue des dégâts dans les mots du directeur général de DRB-HICOM Tan Sri Mohd Khamil Jamil au quotidien malais Business Times : "Jusqu'en mai nous avons de façon encourageante vendu 80 Lotus, ce qui est plus que le total de 70 voitures vendues pour toute l'année dernière." Lotus a donc vendu 70 voitures en 2012, un score de fabricant de kit cars (et pas bien gros avec ça, Caterham pour sa part vendant plus de quatre fois plus sur la même période...).
Heureusement, DRB-HICOM semble prêt à avancer, ayant fait l'état des lieux. La méthode employée sera de bâtir sur les modèles existants, Elise, Exige et Evora, en les améliorant et en en déclinant des variantes. Un de ces "nouveaux" modèles est l'Exige S roadster, la première étape d'un nouveau plan de développement de la gamme sur trois ans. Khamil ne se fait pas de grandes illusions : "On ne le vendra pas en grand volume, mais c'est un grand pas en avant". C'est le principal.
Source : Business Times
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