Longtemps boudée par les clients de la marque au trident, la Quattroporte doit sa résurrection à la maestria de Pininfarina qui a su réinventer cette grande GT de luxe en 2004. Difficile pour Maserati de toucher à cette voiture, mais le poids des années étant là, le dessin n'était plus en cohérence avec la magnifique GranTurismo.
Cette sixième génération de Quattroporte s'inspire largement de la GranTurismo; grande bouche soulignée par une large ouverture dans le bas du bouclier avant, feux avant pointant vers cette calandre béante et surtout une ligne de pavillon fuyante qui dynamise le trait de cette grande berline. A l'arrière, c'est beaucoup moins flagrant et c'est sans doute la partie qui récolte le plus de critiques de la part des aficionados de la marque.
En effet si les feux conservent le bandeau rouge entourant une partie centrale cristal, leur dessin triangulaire laisse place à un plus classique trapèze. Le bas du bouclier ne fait pas apparaitre un diffuseur sportif comme sur la GranTurismo bien que 4 sorties d'échappement se laisse apercevoir. La ligne de la malle arrière casse aussi quelque peu la dynamique du profil. Alors cette nouvelle génération de Quattroporte ? Mieux ou moins bien que la version Pininfarina qu'elle remplace ?
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Crédit Photo : Aurélien M./Le Blog Auto
Longtemps boudée par les clients de la marque au trident, la Quattroporte doit sa résurrection à la maestria de Pininfarina qui a su réinventer cette grande GT de luxe en 2004. Difficile pour Maserati de toucher à cette voiture, mais le poids des années étant là, le dessin n'était plus en cohérence avec la magnifique GranTurismo.
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