Double actualité pour Renault au Venezuela. Samedi, la firme au losange signe une lettre d'intention avec le gouvernement bolivarien. Lundi, il s'associe avec l'IUT Federico Rivero Palacio de Caracas, pour créer un centre de formation en mécatronique automobile. Objectif: être capable d'ouvrir une usine d'assemblage au Venezuela.
Double actualité pour Renault au Venezuela. Samedi, la firme au losange signe une lettre d'intention avec le gouvernement bolivarien. Lundi, il s'associe avec l'IUT Federico Rivero Palacio de Caracas, pour créer un centre de formation en mécatronique automobile. Objectif: être capable d'ouvrir une usine d'assemblage au Venezuela.
En tant que pays émergent, le Venezuela intéresse Renault. Le souci est que c'est un pays où les importations sont surtaxées. Du coup, les ventes des Sandero, Symbol et Kangoo y sont marginales. Malgré 20 concessionnaires et 56 années de présence.
D'où l'idée d'assembler sur place pour contourner les droits de douanes.
Reste que le marché connait une croissance assez chaotique. Le gag est que le marché est dominé par Chevrolet, alors que les Américains font figure de grand satan.
Honda ferme son usine de CKD en 2000. Celle de Great Wall fait long feu. D'ailleurs, en 2009, le partenaire du constructeur chinois veut que Renault prenne le relais. Les négociations n'aboutissent pas.
En 2011, Chery reprend l'ex-usine Honda et la rouvre en grande pompe. Depuis, il n'a pas produit la moindre voiture.
Du coup, le communiqué de Renault est très bref. Il ne contient ni calendrier, ni objectifs de ventes.
Source:
Renault
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