Alors que pour la deuxième semaine consécutive les prix des carburants sont repartis à la hausse, la ministre de l'écologie Delphine Batho vient de déclarer que le gouvernement n'envisageait pas de figer dans l'immédiat les prix à la pompe comme annoncer durant la campagne présidentielle. En effet la hausse est, selon la ministre, conjoncturelle et ne devrait pas durer malgré les signes de hausse des tensions internationales qui se cristallisent autour de la Syrie et se traduisent par un baril remonté au-dessus des 100 dollars.
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Alors que pour la deuxième semaine consécutive les prix des carburants sont repartis à la hausse, la ministre de l'écologie Delphine Batho vient de déclarer que le gouvernement n'envisageait pas de figer dans l'immédiat les prix à la pompe comme annoncer durant la campagne présidentielle. En effet la hausse est, selon la ministre, conjoncturelle et ne devrait pas durer malgré les signes de hausse des tensions internationales qui se cristallisent autour de la Syrie et se traduisent par un baril remonté au-dessus des 100 dollars.
Lors d'une interview radio Delphine Batho a déclaré : "Il faudra voir si (l'augmentation des prix) est simplement conjoncturelle ou si c'est durable, si c'est durable nous regarderons les choses mais à ce stade, (un gel) n'est pas envisagé" avant d'ajouter que la promesse de campagne "était d'envisager un gel temporaire des prix de l'essence lorsqu'il y avait des périodes durables de hausse des prix, dernièrement ils avaient plutôt baissé, là ils viennent de réaugmenter (...) on est sur quelque chose de certainement conjoncturel, en tous cas je l'espère".
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Alors que pour la deuxième semaine consécutive les prix des carburants sont repartis à la hausse, la ministre de l'écologie Delphine Batho vient de déclarer que le gouvernement n'envisageait pas de figer dans l'immédiat les prix à la pompe comme annoncer durant la campagne présidentielle. En effet la hausse est, selon la ministre, conjoncturelle et ne devrait pas durer malgré les signes de hausse des tensions internationales qui se cristallisent autour de la Syrie et se traduisent par un baril remonté au-dessus des 100 dollars.