Sur la place de Paris, PSA Peugeot Citroën « vaut » 2,3 milliards d’euros. Une capitalisation misérable pour un groupe qui réalise un chiffre d’affaires de 60 milliards d’euros chaque année. Thierry Peugeot brandit la menace d’une OPA hostile… Très peu probable.
Zapping Le Blogauto Essai du Mercedes GLC 220D
Dans le cas d’une OPA hostile (car la famille Peugeot n’acceptera pas d’offre), celui qui s’attaquera à PSA devra débourser bien plus que les 6,5 euros que vaut chaque action aujourd’hui. Il devra en outre être prêt à gérer un groupe en pleine mutation qui souffre d’un réel manque de visibilité dans l’industrie automobile de 2012.
Si Thierry Peugeot en parle, annonçant « Tout est possible. Il faut donc agir », l’OPA ne parait pas une option actuellement.
Seul un fonds richissime, prêt à perdre beaucoup, pourrait tenter l’aventure avec l’idée de démanteler complétement le groupe afin de faire une plus-value. Et encore, ce serait du capitalisme théorique et ça mettrait la situation de 200 000 salariés (et les sous-traitants) dans un tel péril que celui qui prendra cette décision pourra s’attendre à une vraie révolution sous ses fenêtres.
Retrouvez des milliers d’annonces sélectionnées pour vous aider à trouver le bon véhicule d’occasion.
Podcast Men Life
Pour résumer
Sur la place de Paris, PSA Peugeot Citroën « vaut » 2,3 milliards d’euros. Une capitalisation misérable pour un groupe qui réalise un chiffre d’affaires de 60 milliards d’euros chaque année. Thierry Peugeot brandit la menace d’une OPA hostile… Très peu probable.