Même à l’autre bout du monde, le scénario d’une épreuve WRC ne change pas. Ford commet des fautes et Citroën se place aux deux premiers rangs. Après la première étape du Rallye de Nouvelle-Zélande, Loeb précède Hirvonen de quatre secondes. Solberg est quatrième à 1’39’’ et Latvala est à près de cinq minutes.
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Tout a commencé lors des choix de position de départ. Parmi les quatre pilotes officiels, seul Jari-Matti Latvala optait pour un départ tardif. Dans le premier chrono, le Finlandais pouvait être satisfait. Sur des routes très majoritairement sèches, il profitait du balayage pour se porter en tête.
Mais son équipier Petter Solberg avait fait un autre pari en chaussant des gommes dures. Beaucoup moins performants que les tendres de ses rivaux, ses pneus lui coûtaient plusieurs dizaines de secondes dès la première demi-journée.
Et, au fil des heures, la tactique de Ford virait au cauchemar. La pluie faisait son apparition, donnant les pleins pouvoirs à Citroën. Hirvonen puis Loeb passaient en tête. Solberg prenait des valises et Latvala tentait de résister.
Mais dans le 7e des 8 chronos du jour, Latvala tapait une clôture. Bloqué plus de quatre minutes, il est désormais pointé au neuvième rang, coincé entre Araujo et Block.
Le résultat est dur pour l’équipe Ford. Encore une fois, ce n’est pas une voiture officielle qui suit les deux Citroën. La troisième place revient à Evgeny Novikov, copiloté par le Français Denis Giraudet.
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Pour résumer
Même à l’autre bout du monde, le scénario d’une épreuve WRC ne change pas. Ford commet des fautes et Citroën se place aux deux premiers rangs. Après la première étape du Rallye de Nouvelle-Zélande, Loeb précède Hirvonen de quatre secondes. Solberg est quatrième à 1’39’’ et Latvala est à près de cinq minutes.